On sait que bon nombre s'étaient fait baptiser quand l'administration coloniale avait décidé de dispenser les nouveaux convertis de travaux forcés, pour lesquels on procédait à des enrôlements et à des enlèvements. Comme cela se produit naturellement lorsque la jeunesse valide d'une population assiégée est sévèrement invitée à alimenter de sa sueur l'entreprise conquérante du vainqueur.