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Critiques de L. S. Hilton (131)
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Domina

Second volume des aventures "artistico-sexuelle" de Judith Rashleigh.💋





Domina reprend l'histoire une année après les aventures de Maestra.

Judith Rashleigh après avoir supprimé toutes les personnes la mettant en danger, a refait sa vie en tant que propriétaire d'une galerie à Venise sous l'identité d'Élisabeth Teerlinc. Entre les débauches de luxe, les dîners avec les personnes les plus tirées sur le volet, Judith, pense avoir atteint le summum du bonheur. Mais voilà, son passé ressurgit brutalement et menace sa tranquillité. Obligée de retrouver un tableau sous peine de se voir assassiner, Judith se lance dans une épopée au travers des différentes capitales européennes... Le compte à rebours est lancé.



Après avoir terminé ce second volet, j'ai refermé ce livre d'une part avec soulagement (ENFIN !!😲 ) puisque je vous avoue que ce second volet est encore plus mauvais que le premier (je développerai plus loin). D'autre part, une envie de pleurer m'a sauvagement saisie lorsque j'ai lu cette dernière phrase à la fin du livre : "À suivre." ... NOOOOOONNNNN !!! 😱Trois tomes, vous êtes sûr que cela vaut le massacre d'arbres pour cette peusdo saga qui est selon moi un gag.





Ce livre est selon moi MAUVAIS, et ce sur plusieurs points. Comme le précédent tome, nous avons une sorte d'histoire mêlant Sex & The City et Cinquante Nuances de Grey pour base. L'héroïne, Judith passe son temps en renouvellement de garde-robe avec marque citée à outrance (l'auteur serait-elle sponsorisée ?????) et scène de sexe des plus trash pas tant dans l'action, mais la manière crue dont le tout est relaté. Bref, si l'auteur tentait d'appâter le lecteur avec du sexe, je trouve que cette opposition entre débauche de luxe et propos vulgaire ne colle pas ensemble.

D'autre part, l'histoire est IMPOSSIBLE pour ne pas dire RIDICULE. Au fil des pages, je me demandais où l'auteur tentait de nous conduire... et, quand l'histoire arrive enfin au final, c'est d'une invraisemblance incroyable. Je vous résume : Judith doit retrouver un dessin du Caravage acheté par un mafieux des pays de l'Est. Le mafieux en question est un homme drainant des millions via ses différents trafics : drogue, vente d'arme et j'en passe. (donc un type méchant, dangereux hein 🤨 ) Et là, dans la fin du livre, l'auteur nous offre une pseudo révélation à la Bisounours version sexe. Le mafieux aurait un coeur .... des sentiments... et une innocence incroyable... 🤔Je refuse d'en dire plus sous peine de vous dévoiler la pseudo grosse révélation de l'auteur. Personnellement, je me demande si l'auteur se moque de nous.... Et cela se poursuit dans le récit avec des rencontres improbables, des personnages sans caractère.





Enfin, les personnages sont insipides et sans la moindre once de réalisme. Entre Judith qui passe de la femme innocente à la tueuse machiavélique, les mafieux facilement accessibles (il faudrait se demander pourquoi la police n'utilise pas les techniques de Judith comme prendre rendez-vous pour les arrêter). Bref, les personnages sonnent tous faux et rendent l'atmosphère du livre complètement faux. L'auteur nous décrit une société stéréotypée avec des riches passant leur temps vêtu de grande marque, s'adonnant au sexe dans des soirées sordides au fond de backroom. C'est INDIGESTE !!!





Sérieusement, quand je pense qu'un troisième volet est prévu...😖 Eh oui, le dernier chapitre se termine sur un face-à-face mettant de nouveau en danger la vie de Judith. Personnellement, je n'aurai rien contre le fait que le personnage la tenant en joue appuie sur la gâchette... cela nous sauverait d'une énième aventure.😏





Pour résumer : Déçue par cette auteur, déçue par la collection Bête Noire en qui j'avais une totale confiance dans ses choix de thrillers. Pour moi, ce livre n'a rien à faire dans leur collection... et mériterait d'être oublié.
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Maestra

Premier tome mettant en scène Judith Rashleigh.👠





Judith Rashleigh issue d'un milieu pauvre et élevé par une femme alcoolique a su rebondir. Enfin, c'est ce qu'elle pensait. Malgré des études brillantes dans l'art et un poste d'assistante dans une prestigieuse salle des ventes à Londres, elle comprend qu'elle sera toujours considérée comme une sous-fifre.

Un soir, elle rencontre une ancienne amie d'enfance qui la pousse à travailler le soir en tant qu'hôtesse. Lors d'une de ces soirées, elle fait la connaissance d'un certain James. Lorsqu'elle est renvoyée comme une malpropre par Rupert, son supérieur en raison de sa curiosité concernant la provenance douteuse d'un tableau et son authenticité, Judith craque. Elle accepte de suivre James pour un week-end dans le sud de la France... mais rien ne se passe comme prévu.





Je ne vais pas tergiverser. Je suis déçue par Robert Laffont d'avoir publié ce livre dans la collection La Bête Noire qui était selon moi une des valeurs sûres dans le monde du thriller. 😖 J'achète régulièrement les livres de cette collection les yeux fermés, la qualité du contenu étant toujours au rendez-vous. Et là, je déchante avec écœurement... surtout après avoir acheté les deux tomes (il y a un an, mais j'avoue ne pas avoir été si pressé de les lire).

Bon, déjà ce livre me pose un problème en raison de sa catégorisation. Un thriller ? Euh... faut pas pousser ! 🤨 Ce roman n'a rien d'un thriller. Après lecture, j'hésite entre roman érotique de bas étage, catalogue de luxe promotionnel en raison du nombre de marques citées ou gag littéraire....



Bon, reprenons l'histoire. Une jeune fille issue des bas quartiers se bat pour monter dans l'échelle sociale. Bon cela se tient et c'est plutôt positif comme idée. Ensuite, engagée dans une grande maison de ventes, elle comprend que son patron se livre à des activités douteuses. Renvoyée pour sa trop grande curiosité, elle éclate en larmes. Rapidement, elle se retrouve dans le sud de la France et se métamorphose en femme calculatrice et cynique. Elle rencontre des hommes riches et nigauds - notamment Steve sur le yacht dont je trouve le personnage insipide, passe son temps à s'envoyer en l'air (les descriptions sont crues dans les termes avec un vocabulaire ordurier des plus minable et en contradiction avec sa pseudo évolution sociale)... pour ensuite revenir en tueuse froide et calculatrice se vengeant et manipulant les gens comme elle le désire.

Sérieusement, plus mauvais comme scénario, on ne fait pas.😒





Après avoir lu ce livre, j'avoue que je me suis ennuyée de ce plagiat à deux sous tentant de nous vendre un thriller avec un soupçon de Nuances de Grey mixé avec Sex and the City. La seule chose plaisante dans cette oeuvre réside dans les descriptions des tableaux, leurs puissances évocatrices subtiles. Pour le reste, franchement... sans intérêt.



Je vais terminer Domina, le second volet parce que quitte à payer un livre... autant le lire. Mais franchement, si ce second volet est aussi glauque et insipide que le premier, quelle torture ...😓

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Maestra

Maestra : Où comment réussir à gagner au loto sans cocher une seule case , juste en écrivant un bouquin...

Moi , si on me promet la lune , il faut assurer derrière , sinon, je dézingue ! [ Rapport à un lointain ancêtre Sicilien....].

Alors je vous cite la 4° de couverture : "Traduit dans 35 pays et déjà en cours d'adaptation par la productrice de "Millénium" et la scénariste de "La fille du train ". Cela s'annonçait bien, on est d 'accord ?

Attendez , c'est pas fini... Maestra est le premier volet d'une trilogie noire et érotique .

Je vous fait le pitch tout de suite ... C'est une jeune femme anglaise, on est à Londres . Elle est stagiaire/ assistante dans une Salle des ventes , mais financièrement , c'est pas la joie, (comme souvent les stagiaires ...). Là, elle rencontre une ancienne pote de lycée qui lui propose d'arranger ses fins de mois en bossant dans un bar à hôtesses . Puis , elle se rend compte un peu trop tard que son boss essaie de monter une arnaque au faux tableau . Au lieu de fermer sa gueule , elle fouine, ce qui n'est pas au goût de son patron qui la vire . Et là, elle décide de se payer du bon temps sur la Cote d'Azur avec sa copine de jeunesse et un pigeon obèse , sensé payer le séjour . Mais , un mauvais dosage de somnifères fait mourir le pigeon, et ni une ni deux , notre Judith embarque sur un yacht d'un mec rencontré précédemment . Là, commencent les arnaques puis le parcours meurtrier...

Entre temps , elle aura cité au moins dix marques de fringues , baisé au moins 3 fois(?), discouru un peu , beaucoup sur le marché de l'art .



Tout ceci serait plaisant s'il y avait un peu d'humour, de second degré, de suspens ,(c'est sensé être un thriller!), et SURTOUT de la psychologie au niveau des personnages , parce que là leurs réactions sont incompréhensibles .

Le proprio du yacht invite Judith sur son bateau et se comporte en autiste , il ne lui demande rien en retour, ni discussions , ni rien en dessous de la ceinture non plus .

[ Moi, je vous le dis ,cet été , les filles, on part toutes à St Tropez , ça a l'air easy !!!!]

L'héroïne est antipathique au possible et son parcours meurtrier est surprenant ...

Quand à sa sexualité ...Elle est glauque . N'importe qui, n'importe comment , elle ne choisit pas . Quand faut y aller, faut y aller , même avec un type atteint d'obésité morbide...On baise et après on tue ... Il doit y avoir mieux comme roman érotique .

Alors , j'ai enquêté ...

L'éditeur, (de Londres, Mark Smith) dit : "Ce n'était ni un bon polar, ni un bon thriller, ni même un bon roman érotique , c'était les trois à la fois".

[C'est sur qu'en mélangeant tout ça , ils feront au moins un heureux... ]

Il aurait pu rajouter qu'elle avait emprunté à "L'accro du shopping", la frénésie d'achats de fringues de marques , qu'elle avait emprunté à Patricia Highsmith, et son Talentueux Mr Ripley , les images ensoleillée de l'Italie , et la froideur meurtrière , à moins que ce soit dans "Mortelle randonnée", ou au cinéma, Sharon Stone dans Basic Instinct ?....

L'auteur est diplômée d'Oxford , (histoire de l'art), c'est bien la meilleure partie du livre ...

Et il faut dire qu'elle est décorative, qu'elle parle 4 langues avec un léger accent , qu'elle le "vend" bien son livre .

Mais regardez la vidéo babélio, elle ne regarde pas son interlocuteur/ journaliste dans les yeux , ils virevoltent dans tous les sens. Et ça, après avoir regardé 2 saisons (au moins !) du Mentalist , je peux affirmer qu'elle n'est pas très à l'aise. A mon avis , elle sait qu'elle a fait une grosse daube , et le but , c'est de s'en mettre pleins les poches .

[Allez Iris, continue comme ça et tu vas bientôt passer commissaire! ].

Bref, à partir de la page 250, j'ai tout lu en diagonale ( mais rassurez-vous, je pratique cet art avec maestr(i)a , et je n'ai rien loupé ) .

Allez, je met 2 étoiles pour l'amour de l'art , et l'info sur le parquet devant le tableau "Les Ambassadeurs"...
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Domina

" Domina" est le deuxième opus d'une trilogie qualifiée de thriller érotique.



dans le premier tome "Maestra" j'avais été surpris par le coté noir du roman : cette belle jeune femme, issue des basses couches prolétaires du nord de L'Angleterre accède par ses études d'art, ses prouesses sexuelles, mais surtout par son absence complète de moralité , à la richesse et à la notoriété; un cas exemplaire de sociopathie.



Dans ce deuxième roman, on la retrouve, sous un faux nom, galeriste à Venise mais elle découvre rapidement que son passé n'est pas oublié pour tout le monde.



J'appelle çà un roman qui ne s'assume pas: le coté sociopathe est édulcoré, très peu de scène érotiques et une intrigue fastidieuse et ennuyeuse.



Reste, heureusement, l'amour que porte l'auteur à l'histoire de la peinture: içi, nous découvrons avec joie des pans entiers de la biographie du "Caravage".



Bon, OK, si vous n'aimez pas ce peintre, vous êtes vraiment mal barré!!



Je remercie l'opération masse critique de m'avoir offert ce livre.
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Maestra

Issue d'une famille glauque des basses couches sociales de Liverpool, Judith s'en est sorti grâce à sa passion pour l'histoire de l'art. Fraîchement diplômée, elle décroche un job d'assistante dans une grande société de vente aux enchères de Londres. D'abord enthousiaste, elle se rend vite compte, malgré son ambition et ses compétences, qu'elle restera condamné à un poste subalterne mal payé. Pour arrondir ses fins de mois, elle travaille dans un bar à hôtesse, l'argent commence à tomber et elle l'engloutit dans l'achat de fringues de luxe. Célibataire, elle prend son pied dans des soirées libertines.

Virée de son boulot principal pour s' être opposer à une arnaque, elle comprend alors que son cul bien fait sera beaucoup plus utile à sa réussite sociale que sa tête bien pleine et elle commence à plonger avec délectation dans un appât du gain sans scrupules qui l’amènera à une folie meurtrière sans limites.



L'objectif commercial de départ est limpide: Bridget Jones + Millénium+ romance érotique = Maestra: premier opus d'une trilogie qui tente de fédérer les lectrices de ces types de roman .

En lisant les quelques critiques sur Babélio, elles semblent majoritairement déçu par cette mixture étrange.

Quant à moi, je suis surpris d'avoir terminé ce livre et d'avoir envie de lire la suite même si les nombreux passages d'achat de fringues lo bottin et jenny shoe m'ont bien rasés.

Le coté érotique est plutôt banal bien que je ne comprenne pas pourquoi elle baise surtout avec des gros vieux et moches.

Ce que j'ai apprécié ,'est que ce roman ,contrairement à ce que dit la quatrième de couverture, n'est pas un thriller, suspens faible et rebondissements quasi inexistants, mais un roman noir, nous suivons tout simplement les aventures d'une psychopathe, brisée dés son enfance et qui n'a de cesse d'écraser à son tour. C'est, en tout cas ma manière de comprendre cette héroïne particulièrement détestable et à laquelle on ne peut s'identifier.

Est ce que mon interprétation correspond à la volonté de l'auteur, nous le saurons au prochain épisode.
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Maestra

Je suis très surprise et étonnée que Maestra soit le premier bouquin paru aux Editions de la Bête Noire. La Bête s'est donc bien rattrapé depuis ce ratage, en tout cas c'est ainsi que je l'ai ressenti lors de ma lecture.



Ratage à tout point de vue l'héroïne très belle, très désirable qui a une très belle garde robe, d'ailleurs l'auteur a-t-elle été sponsorisée par lesdits marques? Il y a de quoi se poser la question.



Lorsqu'elle rejoint son ami pour travailler dans un bar elle plait bien sûr au gros dégoutant de service, dégoulinant de sueur etc....



Et puis sur un yacht elle va tomber sur la seule personne au monde qui ne veut pas coucher avec elle bref cliché sur cliché.



J'ai même trouvé des redites à deux moments dans ce livre donc quand l'auteur a un trou de mémoire elle remonte une centaine de page plus haut?



Un mélange des genres entre roman noir/érotisme/marché de l'art qui ne fonctionne pas du tout bref....



Comment a-t-on pu autant entendre parler de ce livre? Qui en plus se déclinera en plusieurs tomes?
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Maestra

« Maestra », le coup de maître de L.S. Hilton



Entre le roman noir et le roman érotique, « Maestra » est un roman intriguant. J’ai tout de suite accroché, pour très vite décrocher avant de me dire que oui, s’il y a une suite je la lirai !



Tout commence avec Judith, une jeune femme que l’on imagine bien sous tout rapport, évoluant dans le monde du marché de l’art. La journée, elle endosse le rôle de la petite assistante soumise avec brio alors que ses soirées sont placées sous la bannière du sexe à profusion. Partouseuse émérite, Judith aime les belles choses et a des fins de mois difficiles. Elle rencontre une ancienne connaissance qui l’a fait engager dans un bar à champagne miteux, où elle apprend les ficelles du métier d’entraineuse. Judith aime l’argent et décide de profiter de l’un de ses clients, mais tout ne se passera pas comme prévu...



« Maestra », un début prometteur et pourtant...



J’ai adoré l’univers dans lequel Judith travaillait, les tableaux, la façon dont est abordé le marché de l’art, mais malheureusement on s’en éloigne très vite pour se retrouver plongé dans un univers fait de talons 12 cm et de sac en cuir plaine peau. Ce qui m’a plutôt dérangée, ce n’est pas qu’on parle chiffons, après tout, je suis une femme, j’adore ça, c’est qu’on en parle à toutes les pages. Lire « Maestra », c’est un peu comme lire Grazia ou Elle, quand on enlève le placement de produit, il ne reste plus grand-chose. Mais bon, à défaut d’avoir approfondi mes connaissances sur l’art, j’aurais au moins appris qu’une lanière de sac Chanel peut vous rester dans la main à peine quelques heures après l’avoir acheté. Et ça, vu le prix, c’est tout de même inadmissible !



Sexe, meurtre et shopping à volonté



Alors, durant tout le roman, nous allons suivre notre chère Judith, de parties fines, en parties de jambes en l’air en mer, sur terre, sur pont, sous le pont, sur yacht ou sur canot, a deux ou à plusieurs... C’est inéluctable, Judith ne s’ennuie pas et à une condition physique à toute épreuve bien qu’elle ne semble pas pratiquer de sport, si ce n’est le shopping intensif.



Mon avis



Je me suis permis une chronique sur un ton léger, car le roman se prête à ce genre de chose. Bien que j’ai trouvé abusifs tous ces clichés autour des femmes qui sont toutes vénales, jalouses, accros à l’argent et prêtes à tout pour se faire entretenir par un homme riche, j’ai trouvé ce roman très rythmé. Je ne me suis pas ennuyée une seconde lors de cette lecture. J’ai tout de même eu la désagréable impression que l’auteur n’a pas su choisir le genre de son roman et on se retrouve avec un mix entre les écrits de Sophie Kinsella, Christina Lauren et de Richard Osborne (Basic Instinct).



Je n’ai pas apprécié le personnage de Judith, par contre j’ai beaucoup aimé Steve, un homme qu’elle va rencontrer lors de sa course folle suite à une malencontreuse déconvenue lors d’un week-end passé à Cannes.



« Maestra » est un roman agréable, plutôt féminin, qui surfe sur la vague de la littérature érotique qui fait fureur actuellement. Mais, une surdose de « chichis féminins » a malheureusement influencer la façon dont je juge ce roman, qui pour moi, est une lecture plaisir sans autre prétention.



Si suite il y a, je la lirai, car bon nombre de points sont encore à élucider, n’oublions pas qu’il s’agit aussi d’un roman noir, mais si je salue l’originalité, je ne suis pas convaincue par le résultat.


Lien : http://que-lire.over-blog.co..
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Domina

Autant j'avais détesté Maestra le tome 1 autant le second volet et bien meilleur à mes yeux la note passant de 1 étoile pour Maestra à 3 pour Domina, j'espère donc une lecture 5 étoiles pour le tome suivant.



Ici les choses qui m'ont beaucoup dérangé dans le tome 1 m'ont apparu moins flagrant comme les citations de marques à tout va dans Maestra, il y en a encore dans ce volet mais c'est beaucoup plus discret ou les redondances qui ne sont plus présentes également.



Un récit plus concis mieux construit donc pour ce second roman de l'auteur.



J'ai aimé l'ambiance de Venise décrite ici, ce que j'ai appris sur le Caravage, le personnage de Judith est également plus agréable à suivre à mes yeux et la fin de ce récit est juste addictive on a terriblement envie de connaître la suite.



Si aux yeux de certains lecteurs le personnage de Judith c'est assagi c'est pour moi une des réussite de ce roman elle en devient beaucoup plus crédible et convaincante.



Un livre dévoré en deux petits jours ou on en apprend plus sur le passé de Judith ce qui l'a rend plus touchante.
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Maestra

Quoique fort loin de mes lectures habituelles mais encouragée par une rencontre fort plaisante avec L.S. Hilton, j'ai mis le nez dans Maestra, premier tome d'une trilogie qui a pour héroïne Judith Rashleigh.Le moins que l'on puisse dire c'est que cette jeune femme veut tout d'abord réussir , qu'importent les obstacles à surmonter et ensuite qu'elle aime la vie, l'argent , le luxe et le sexe bien sur! L'histoire commence à Londres dans une galerie de peinture réputée où les compétences universitaires de Judith ne sont guère mises en avant, elle serait plutôt la préposée aux photocopies ... Virée de façon éhontée elle va vite retomber sur ses pieds. Nous la suivons sur la Côte d'Azur, puis à Rome, Genève, Paris. De multiples prises de décision l'attendent qui ne satisferont pas toujours ses interlocuteurs... Voilà vous savez tout ou presque je ne suis pas vraiment sure de poursuivre la trilogie mais pour les amateurs Domina vient de paraître .
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Maestra

J'ai choisi ce roman parce que j'affectionne les thrillers et qu'une intrigue sur fond de corruption dans le monde fermé de l'Art était une bonne idée de départ. Une fois la dernière page tournée, voici ce que je retiens de ce roman : shopping intensif (où chaque article comporte plusieurs zéros) offert à des femmes vénales par des hommes richissimes, grosses liasses de billets de 500 euros minimum dans les vestes ou sacs à main, palaces, yachts, démonstration de richesse et débauche dans la luxure à outrance. J'ai vraiment eu du mal à entrer dans l'histoire, d'autant que je n'avais aucune empathie pour l'héroïne.



Le côté thriller se fait plus que désirer… 370 pages en totalité. 300 pages où l'histoire ne m'a pas vraiment captivée, trop lente, trop longue, trop d'énumérations de "soirées" réservées à quelques initiés, trop d'énumérations vestimentaires… le fait de porter des chaussures Louboutin, un foulard Hermès, un fourre-tout Chanel (vous trouvez l'énumération longue ? C'est vrai. Comme dans le roman alors…) ne rend pas l'histoire ou l'action plus intéressante. Et enfin les 70 dernières pages où finalement il se passe quelque chose d'intéressant. Cependant, je trouve l'écriture fluide et incisive et L.S. Hilton maitrise son sujet quand elle parle d'art (elle a étudié l'Histoire de l'Art et a été critique d'art).



Pour moi, il ne s'agit ni d'un thriller, ni d'un polar noir. Rien de choquant non plus que ce soit dans le mode opératoire des meurtres ou dans les scènes de sexe (elles sont crues, c'est tout). L'auteure a peut-être voulu surfer sur la vague de la littérature érotique, très en vogue depuis la sortie des "50 nuances de Grey" en y apportant un côté thriller pour attirer les amateurs de ce genre. Je n'ai pas été convaincue par le résultat. D'ailleurs, je ne comprends pas la comparaison qui est faite avec cette trilogie qui, elle, pour l'avoir lu, relate une histoire d'amour un peu guimauve. Alors qu'ici, pas de romantisme, c'est trash, l'héroïne aime le sexe sans tabous, l'argent, le luxe et, attirée par le pouvoir de l'argent facile, prend goût au meurtre pour arriver à ses fins.



C'est un roman qui se lit facilement, sans prise de tête. Je ne dirai pas qu'il est mauvais (pour preuve, d'autres ont aimé) mais je n'y ai pas trouvé ce que je recherche dans un thriller comme l'impatience de reprendre rapidement la lecture, des personnages accrocheurs, le suspense et l'angoisse qui nous maintiennent en haleine par exemple. C'est le premier volet d'une trilogie. Mais une suite est-elle nécessaire, si ce n'est que commercial ? Au risque de se répéter, quelles autres démesures l'auteure inventera-t-elle ? Pour ma part, je ne sais pas si je lirai le suivant.



Je termine ma critique en y incluant celle de mon mari qui a lu ce roman avant moi et reconnait qu'il ne l'aurait pas choisi de lui-même (il aime les romans historiques et n'est pas attiré par les policiers et les thrillers). Mais étant en vacances à l'étranger et n'ayant sous la main que les quatre romans que j'avais apportés, il a choisi celui-ci et à ma grande surprise l'a vraiment apprécié. Il attend de lire la suite qui devrait paraître en janvier 2017.
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Maestra

La curiosité est un vilain défaut et à nouveau je me suis faite avoir (bang le ton est donné).



Maestra ... Maestra ... Présenté comme le thriller le plus original ect ect ect .... Et bien mes amis je déchante je déchante.



Pour résumer la situation ? Et si Anastasia Steel avait été un minimum culturée ? Parce que oui voilà l'attrait principal du roman: tenter de rendre l'héroïne un peu moins cruche (ce qui ceci dit entre nous n'était pas bien dur) que celle d'une autre trilogie à succès (que j'ai détestée elle aussi). Prenons donc une experte dans le domaine de l'art, imaginons là en tailleur talons aiguilles (ça c est pour émoustiller), trouvons lui une vieille copine sortie de nulle part, un soutif en dentelle et un reluquage plus tard là voilà employée dans un endroit douteux où tous les fantasmes sont permis.

La bonne nouvelle? Pas de déesse intérieure, pas de mordillage de lèvre, pas de tic chiant bref on nous a au moins épargné ça.



C'est pas tout ça mais avançons ...



Une intrigue sur base de corruption et de faussaires (avouez c'est quand même un peu plus classe que l'autre qui parle à sa queue), pimentée par des scènes hot aux répliques cultes (et ce dès les premières pages ( "Alors c'est comme ça que ça fonctionne?" - "oui c'est comme ça" nous voilà prévenus tiens), de quoi être tenu en haleine s'ennuyer sur quelques pages.



Vraiment je vais être bien vilaine (le mot vilaine était drôle non vu le sujet ?), ce bouquin tente pour moi de surfer sur la vague de succès des romans érotiques en ajoutant le versant thriller pour rameuter plus de populasse. Et à mes yeux ça na pas pris. Purement commercial et c'est bien dommage.



Mais ... Mais pas de panique parce que malgré que je sois un être chiant / râleur / méprisant (je m'auto flagelle pas besoin de balancer des tomates je l'ai fait toute seule), je sais que ça se lit facilement, sans prise de tête, au bord d'une piscine l'été, et que ce bouquin sera sans aucun doute le summer thriller de beaucoup de lecteurs (et en plus deux autres vont suivre que demande le peuple ?).



A vous de vous faire votre opinion!



Merci à Netgalley et à la Bête noire pour la découverte.
Lien : http://desmotssurdespages.ov..
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Domina

Si l'effet de surprise de Maestra, ce thriller érotique qui avait bénéficié l’an passé d’un lancement mondial avec une belle opération marketing à la clef, n’est plus là et que le scénario de ce second tome est peu ou prou construit sur les mêmes situations que le premier, ce thriller n’est reste pas moins agréable à lire. Les tribulations de la spécialiste des beaux-arts, aussi sexy que dangereuse, vous offrirons quelques moment de détente et une récréation bienvenue, surtout si vous êtes en vacances. Les quelques scènes pimentées qui parsèment le livre devant suffire à ne pas vous endormir au soleil.

Dans Domina, on retrouve la belle et sulfureuse Judith Rashleigh sous sa nouvelle identité, celle d’une galeriste vénitienne nommée Elisabeth Teerlinc. Dans la cité des Doges, elle essaie d’oublier la mort du marchand d’art qui lui avait permis de mettre le pied à l’étrier et avait fini tragiquement dans le Tibre. Mais, bien qu’elle se soit évertuée à effacer toutes les traces de ses forfaits, son passé va finir par la rattraper. Une bande internationale de truands est en effet à ses trousses ou plutôt aux trousses du tableau qu’elle avait subtilisé après avoir commis son forfait. « Si je ne me débrouillais pas pour mettre de l'ordre dans tout ça, je pouvais dire adieu à la belle vie d'Elisabeth Teerlinc. »

Finies les fêtes à Ibiza, le luxe et les excès en tout genre, au moins temporairement. Elisabeth doit se mettre à l’abri, tout en essayant de comprendre qui tire les ficelles.

À la manière d’un James Bond, L.S. Hilton choisit de nous faire voyager dans différents endroits, histoire de nous dépayser. On va donc suivre son héroïne à travers toute l’Europe dans une quête très risquée, puisque quelques cadavres vont semer sa route. Accompagnée par un jeune éphèbe et cette fameuse toile attribuée au Caravage, elle devra faire preuve de sang-froid et de finesse pour s’en sortir. Sans oublier la dose d’intelligence et d’érudition dont on sait qu’elle n’est pas dépourvue.

C’est du reste l’un des aspects intéressants de cette trilogie: cette érudition (rappelons que l’auteur a étudié dans de prestigieuses écoles avant d’être critique d’art) nous permet de découvrir des pans intéressants de l’histoire de l’art. Alors, si ce roman ne va pas révolutionner le genre noir et rose avec ses tueurs et ses scènes de sexe, il n’en est pas pour autant dépourvu d’intérêt. La suite et fin de l’histoire est programmée pour l’année prochaine.


Lien : https://collectiondelivres.w..
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Maestra

La Bête Noire est une excellente collection qui a publié des pépites, j'ai d'ailleurs hâte d'être au festival Quais du Polar pour dévaliser les derniers livres qui me manquent pour compléter ma collection. Mais que dire de Maestra ? L'auteure a décidé de mélanger thriller et érotisme, son caractère unique et original ne peut qu'amener deux réactions : ça passe ou ça casse (comme dirait Rocky) Qu'en est-il pour moi ?



Je lis de tout : j'adore les thrillers, j'aime me détendre avec un bon livre érotique, je n'ai aucun a priori pour ces deux genres ainsi ce n'est pas cette effervescence de sexe qui pourrait me perturber ou me rendre sceptique. A mes yeux ce livre a tout pour faire parler de lui et ce mélange de deux genres populaires était une excellente idée. Pour autant je n'adhère pas vraiment au rendu final... Pourquoi ?



Tout d'abord j'ai trouvé que l'histoire était remplie de clichés sur tout et tout le monde, c'était intéressant de voir ce personnage principal avoir un avis tranché, fermé et sarcastique (j'adore ce dernier trait de caractère) sur tout ce qui l'entoure mais il y a le risque flagrant de tomber dans la caricature. Ensuite le fait de vouloir mixer thriller/érotique peut engendrer le même risque que je retrouve dans celui de thriller/fantastique : on perd la substantifique moelle de chacun des genres... Lorsqu'on ne sait pas sur quel pied danser, on risque de ne jamais trouver la parfaite harmonie.



Après il y a Judith... Alors il est vrai qu'elle est très opiniâtre et qu'elle peut susciter des moments d'admiration face à sa volonté sans failles mais elle reste sincèrement antipathique. C'est très difficile de suivre une histoire lorsqu'on ne s'attache à aucun personnage... D'autant plus que l'intrigue et les rebondissements ne sont pas toujours crédibles. Je tiens à saluer la traduction impeccable de Laure Manceau qui a réussi encore une fois à retranscrire le style de l'auteur ainsi que son univers. Ainsi je reste curieuse de connaître la suite pour voir si certains points s'améliorent et parce que cela est souvent le cas lorsqu'on commence un thriller...



En définitive, peut-être qu'il s'agit du "thriller le plus scandaleusement original que je lirai cette année" mais il n'était pas fait pour moi. Je suis pour l'originalité car elle amène ainsi des réactions tranchées, peut-être que ce livre est fait pour vous ?



P.S. : J'ai remarqué que mes avis mitigés titillaient souvent votre curiosité, je ne doute pas que ce livre va en intriguer plus d'un ;)
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Maestra

Merci à Robert Laffont !

Judith Rashleigh travaille en tant qu'assistante pour un hôtel de ventes aux enchères à Londres. Malgré ses diplômes et ses talents, elle n'est considérée que comme un sous-fifre qui n'a pas son mot à dire. Pour compenser ses journées vides de sens, elle officie la nuit dans un bar à hôtesses, ce qui lui permet de se faire beaucoup d'argent et de séduire facilement.

Un jour, elle découvre une gigantesque escroquerie autour d'une toile de maître à son travail. Sur le point de faire éclater le scandale, elle est licenciée. Elle décide alors de fuir avec un client rencontré lors de son travail de nuit, en direction de la Côte d'Azur. Là-bas, elle décide de goûter aux joies de la vengeance, et de tout faire pour que maintenant tout se déroule selon ses plans à elle.

Maestra est sans doute le livre de la Bête Noire qui a eu le plus de publicités, qui a eu beaucoup de refus de la part d'éditeurs, et qui est souvent cité dans la presse. Pour ma part, je ne refuse jamais un livre de la Bête Noire, et pourtant celui-ci m'a fait un peu hésiter... Car, j'avoue que les livres à tendance un peu érotisme me font toujours reculer. Donc, j'attendais de voir si L.S Hilton allait me convaincre ! Car après tout, j'avais aimée toutes les publications précédentes de la Bête Noire, pourquoi celle-ci serait différente ? Mais malheureusement, je suis peut-être partie un peu trop confiant... Oui, Maestra n'a pas été un coup de cœur, et m'a laissé sur le fond assez dubitatif.

(Mon avis complet sur mon blog.)
Lien : http://chezlechatducheshire...
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Les femmes de mes amants

Reçu dans le Cadre de l'opération Masse Critique Littéraire de la rentrée, je remercie les Editions Massot et Babelio pour ce livre.



J'avoue néanmoins être particulièrement désemparée à l'idée de critiquer Les Femmes de mes amants de L.S. Hilton, n'étant pas certaine d'être à même d'en donner ne serait que le synopsis ...



M'y étant engagée, je vais quand même tenter !



L.S.Hilton, la narratrice du livre, à travers le récit d'épisodes de sa vie, qui semblent autobiographiques, en profite, entre 2 expériences sexuelles (dont l'intérêt pour le livre demeure parfois ténu) pour planter ses ongles manucurés sur le monde de la littérature et de l'édition, et sur les hommes par la même occasion.



Il m'est néanmoins compliqué de vous assurer que c'est bien cela la trame narrative du livre, l'auteur sautant de sujet en sujet, sans toujours beaucoup de liens de l'un à l'autre, et dans une grande cacophonie calendaire.



Les souvenirs de la vie de la narratrice, qui mêlent tout à la fois, les chants de Noël familiaux, la vie de ses amants avec leurs petits habitudes, le profil de leurs femmes, les promenades au Parc avec sa fille, ses expériences "SM" rémunérées, ses copines diverses et variées, ses escapades italiennes, provençales ou encore Danoise, ou encore les frasques avec son "meilleur ami" décédé, le Dandy underground de Soho.

Un vrai patchwork de souvenirs, plus ou moins intéressants, plus ou moins pertinents, dont la présence au sein d'un même livre reste assez absconse.



Sans réellement m'ennuyer, j'ai surtout passé ma lecture intriguée, attendant la clé qui me permettrai d'assembler tous ces passages et d'enfin comprendre. Mais malheureusement, ce n'est pas venu, ou bien n'ai je pas été capable de le comprendre.



Béotienne tant au sujet de l'éditeur que de l'auteur (je refuse toujours l'usage de l'horrible mot d'autrice !) quand j'ai appris que j'allais recevoir cet ouvrage, je n'ai pas donc été influencée en amont. (Et oui, il semble pourtant qu'il y ait eu grand battage médiatique et marketing autour de la précédente trilogie de L.S. Hilton, mais je devais être dans ma grotte à ce moment là ...).



J'ai depuis découvert les éditions Massot et leur volonté de "changer le monde par les livres et provoquer une prise de conscience" (challenge respectable s'il en est !), mais j'avoue que dans le cas présent, l'apport de L.S. Hilton à ce challenge ne me semble pas vraiment évident. On est loin de la découverte par ce même Massot de V.Despentes en 1994, quand tous les autres éditeurs lui avait tourné le dos.



Je suivrai avec attention néanmoins les éventuelles prochaines références à ce livre dans l'espoir d'en comprendre enfin le sujet …



PS : dans ce brouillard j’aurai sans doute mis 2,5 étoiles, mais la quantité de coquilles ayant échappé à l’épreuve de relecture m’a découragé.
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Maestra

J'ai hésité fortement avant de lire Maestra, mais comme je lis toujours les romans qu'on me prête je me suis plongée dedans... et je l'ai vite regretté car j'ai un peu eu l'impression de perdre mon temps !

Au début j'ai bien aimé découvrir Judith, son travail dans le milieu de l'art.. J'ai moins apprécié les scènes de cul, trop crues à mon goût mais bon, ça va encore.

Sauf qu'à un moment ça part en cacahuète !

Il y a des meurtres, ou plutôt des abattages de sang froid.

Judith est une tueuse, et niveau sexe, c'est parfois étrange.

Le summum du mauvais goût a été atteint selon moi page 332 quand son amant lui met un doigt dans l'anus et dit que ça sent l’huître. Amis de la poésie, bonne nuit !

J'ai hésité entre refermer le roman ou éclater de rire ! J'ai choisi le rire et j'ai fini ma lecture (mais non, ça ne s'arrange pas, malheureusement). Quel soulagement quand la dernière page est arrivée :)

Maestra est présenté comme le premier volet d'une trilogie noire et érotique, mais je vais m'arrêter là car je doute de lire les suivants, même si on me les prête !

Je mets une étoile et demie, et encore je suis gentille. Honnêtement, passez votre chemin, il y a mille fois mieux à lire.
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Maestra

J'ai voulu laisser une chance à ce roman malgré ses handicaps de départ. Citer la Fille du Train et 50 shades comme influences ne sont pas, pour moi en tout cas, des lettres de noblesse.

Bref, l'éditeur nous annonce un thriller noir et érotique ... Je les attends encore.

Il n'y a pas de thriller à proprement parler et en guise de scènes érotiques on a plutôt droit à du porno amateur vulgaire.

Je préfère masquer la suite, au cas où certains seraient intéressés par le livre, ce dont vous avez parfaitement le droit :)



Pour être honnête ce bouquin vaut à peine un 5/20 ... et encore c'est uniquement pour soutenir la traductrice.
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Domina

Confinement oblige, on se tourne vers sa PAL et on se dit OK, qu'est-ce que j'avais commencé et pas terminé?, et qu'est-ce que j'avais même jamais commencé. Hé bien "Domina"! Acheté en grand format tellement j'avais dévoré le premier tome, mais finalement pas lu plus loin que le premier chapitre... Pourquoi? Je ne sais pas. Là en tout cas, je m'y suis remise et... et ben je me demande où est passée notre chère folle du premier tome? Enfin, "chère", c'est un bien grand mot, elle n'était pas vraiment attachante et carrément dangereuse mais il y avait quelque chose de nouveau dans Maestra, une méchante vraiment intéressante, qui a un passé pas facile facile qui explique pas mal de trucs mais qui ne se cherche pas d'excuse. Et puis elle était complexe, elle se trompait, elle recommençait, on avait peur pour elle. Les scènes de sexe étaient vraiment sexy aussi, parce qu'on sentait son désir, sans affect, certes, mais justement, c'était délicieusement choquant. Là elle baise plus pour anihiler sa peur, ses angoisses, son ennui. Les passages sur Caravage sont bien, ceux sur Paris aussi... Je crois quand même que je n'achèterai pas le tome 3... en tout cas pas en grand format!
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Maestra

Qui aime faire du Shopping ?

Qui aime les fringues griffées ?

Qui aime la grosse vie salle ?

Qui aime les vacances 360 jours par année ?



He bien pas moi !

Je me suis fait rouler dans la farine.

Berné par la publicité du second tome, qui m'a fait acheter le premier et le 2e.



Des description à en plus finir sur les marques de vêtements, de souliers, des boutiques, des coupes de cheveux, du maquillage, ...



Ne jamais mettre un livre "chick list" dans la section des Policiers Thriller.



Un petit personnage qui deviendrait, du jour au lendemain, capable de réaliser plusieurs "meurtres parfaits", prémédités en moins de 24 heures.



Pourquoi 1 seule étoile ?

C'est déjà trop.



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Maestra

Alors donc, on nous promet un thriller érotique; alors érotique bon oui, il y a des scènes de sexe relativement explicites par contre, le thriller... je cherche encore le suspense. Disons que ce roman nous raconte les aventures d'une tueuse en série accro au sexe et aux fringues hautes coutures. Résultat une héroïne qui n'est absolument pas attachante, une écriture plate, sans finesse et un style qui ressemble à une chimère : la tête de roman érotique, le corps d'un roman de gare et une queue en listing des commerces de luxe, un zeste de guide de voyage. Bref, je lirai le tome 2 car je l'ai acheté en même temps que le premier mais sauf grosse bonne surprise, le troisième restera sur les rayons de mon libraire.

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