Pourtant, la plupart d’entre eux travaillent sans salaire, avec comme seules récompenses le repas insipide qu’on leur servira le soir et les dortoirs collectifs où on leur cédera une paillasse. Malgré tout, Lou les envie : ils sont plus libres qu’elle ne le sera jamais. Après les vendanges, leurs pas les porteront ailleurs, vers d’autres terres à explorer, d’autres travaux à accomplir, d’autres refuges à découvrir.