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Laura Battini, chargée de Recherche dans l'unité de recherche PROCLAC (UMR 7192 — CNRS/Collège de France/EPHE) nous parle aujourd'hui du ressenti de la maladie dans le Proche-Orient ancien.
À toute époque, la maladie, qu'elle soit individuelle ou collective (épidémies), est et a été ressentie comme un problème : pourquoi moi/nous? Au Proche-Orient ancien, son origine est réputée divine, provoquée par une faute commise par l'homme. Alors, tous les remèdes, pratiques et magiques, étaient utilisés, les uns pour soulager la douleur plus que pour guérir, les autres pour apaiser la divinité et faire donc disparaitre le mal.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur https://www.college-de-france.fr/site/actualites/Propos-de-chercheurs.htm
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Bien avant de devenir Premier peintre du roi, et de réaliser les décors de la galerie des Glaces à Versailles, Charles Le Brun fut élève de Simon Vouet. De quel tragédien fit-il le portrait en 1642 ?
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