La première impression que Maddie eut de la salle de rédaction est que c’était, eh bien, sale. Sale et bruyant. Tellement de journaux, empilés partout. Les cris des gens, le claquement des machines à écrire, une sonnette quelque part. Et tellement d’hommes. Mais elle fit un effort pour se rappeler que des femmes aussi travaillaient là. Elle avait lu leurs signatures, vu leurs articles. Les femmes aussi pouvaient être journalistes.