Même si elle pense plus aux êtres non nés qui viendraient au monde au cours des siècles suivants qu’à sa propre petite personne qui s’étiole de tous les côtés. Oui, parce qu’elle évoque, encore, avec insistance, la beauté du monde, la fascination qu’exerce sur nous un tableau de Goya où l’écoute d’une sonate de Schubert. Oui, parce qu’elle croit que tout être possède en lui le désir de faire le bien du berceau à la tombe.