Rien ne dure plus. Mais la magie, elle, persiste.
Qui était la sorcière ? Une marginale, une hérétique, une empoisonneuse, une célibataire, une insoumise ; censurée, humiliée, emprisonnée...
[...]
Qu'avaient en commun toutes ces femmes ? Elles représentaient une menace pour l'ordre établi. Quel ordre, et établi par qui ? Le clergé ou les sociétés fondées sur des principes patriarcaux, souvent. Les hommes, toujours.
Ces femmes, ce sont des sorcières, dans le sens le plus merveilleux du terme : des femmes puissantes et affirmées. Des femmes indépendantes et irréductibles. Des femmes brillantes et inaliénables. Des femmes féministes et rebelles.
En un mot : magiques.