Laurel Corona

entre le premier et le deuxième mouvement, de la partie
"été"" des 4 saisons ; les auditeurs consultèrent l'exemplaire des sonnets que l'on avait déposés sur leurs chaise. Les violons jouèrent une phrase obstinée, douce et ondulante comme la brise dans dans l'herbe, tandis que Vivaldi donnait une mélodie languisante , évocatrice d'un pâtre quis'endort à l'ombre d'un arbre.
Seuk l'aboiement de son chien confié au violoncelle venait rompre la sérénité du moment .
La musique de l'étéévoquait la torpeur d'une chaude après midi peuplée de mouches et de moucheronts .
Un coucou,une tourterelleet un chardonneret voletaient et chantaientdans les arbres.
Unorage soudain aussi bruyant que violent; emmena le concerto d'été à sa conclusion.

Fabiolino vous dis ""si vous écoutez ces 4 concertos ,écoutez le dernier le quatrienne "" l"hiver"" que je trouve magnifique et vous le quel préférez vous ?

-[...] tu vois, la vie de quelqu'un n'appartient qu'à lui seul. Personne n'a le droit de déclarer "Je te choisis" si tu ne veux pas l'être.
-Mais moi, je veux être choisie, protesta Donata en s'asseyant à côté de sa mère.
-Je sais, acquiesça-t-elle en la serrant contre elle. Il est agréable de se faire remarquer, non ? Et il est agréable de se dire que quelqu'un vous trouve quelque chose qui sorte de l'ordinaire. Mais il y a une chose bien plus importante qu'être choisi.
-Quoi, maman ?
-Choisir pour toi même.