Deux ans s’étaient écoulés depuis l’affaire. Le procès avait accouché d’une définition révisée de ce qu’était la vie…et de ce que la mort n’était pas. Dans nos bons vieux Etats-Unis d’Amérique, le vampirisme était désormais légal.
Dans les tribunaux, on débattait d’une multitude de questions. Les héritiers étaient-ils tenus de rendre les biens qu’ils avaient récupérés ? Si une femme mariée bénéficiait du statut de mort vivante, fallait-il considérer que son mari était veuf ? Tuer des vampires était-il un meurtre ?
Un mouvement populaire prétendait même leur donner le droit de vote. Comme l’a si bien dit Bob Dylan, « les temps changent ! »