Extrait de l'introduction
L'évocation des accords toltèques, si vous n'avez pas lu Les quatre accords toltèques de Miguel Ruiz, peut provoquer une certaine perplexité.
° Toltèques ?
Y aurait-il un rapport avec les Incas, les Mayas ? Est-ce une nouvelle lubie à la New Age qui va chercher une soi-disant sagesse bien loin de nos contrées ?
° Accords ?
S'agit-il de musique ? D'une sorte de pacte qu'auraient conclu les Toltèques ? L'histoire regorge d'accords : Munich, Schengen, Yalta... Il y en aurait quatre et même un cinquième ?
Si vous avez lu le livre et peut-être aussi Le cinquième accord toltèque, vous savez de quoi il s'agit, mais vous êtes peut-être sceptique sur une utilisation de ces principes dans le monde professionnel.
Les quatre accords toltèques, édité en 1997 aux États-Unis, en 1999 en France, est encore, au moment où nous écrivons, classé dans les 50 meilleures ventes françaises de livres d'un site international de e-commerce réputé. Le bouche à oreilles a fonctionné de façon fulgurante et continue de fonctionner, malgré le coté hermétique du titre.
Il a été traduit en 38 langues et vendu à plus de 5 millions d'exemplaires aux USA (source : www.amberallen.com).
Le titre complet est Les quatre accords toltèques : la voie de la liberté personnelle.
Comment en sommes-nous arrivés à proposer une application de cette approche au management d'équipe ? Est-ce un nouveau caprice de consultant, élégant sur le papier mais impossible à mettre en place ou à maintenir dans des contextes professionnels difficiles et exigeants