Je remarque une drôle de créature, présente sur plusieurs pages. Enfin « drôle » n’est pas vraiment le mot. Angoissante, plutôt. Même si la position des bras et des jambes change, elle se tient toujours voûtée. Sa tête a la forme d’un écran de télé. Pas d’yeux, pas de nez. Juste une espèce de gueule grande ouverte, dont on ne sait pas si elle va hurler ou vous avaler. Je montre à Tom l’une des pages avec la créature.
– C’est mon père.