Je suis en train de le lire, et chaque page me donne envie d’en faire des commentaires. Il faut que je réprime cette envie. Je mentionnerai simplement qu’il y a un portrait d’Heydrich au début du livre. Je ne citerai qu’une seule phrase : « ses mains paraissaient trop longues, comme des algues nerveuses attachées à ses bras », parce que, je ne sais pas pourquoi, j’aime bien cette image.