Laurent Luyat

"Les réseaux sociaux sont devenus les censeurs de la légèreté et de l'insouciance avec tous les dérapages que cela engendre. Un mot de travers et la sphère se déchaîne."

"Parfois, on ne se rend pas compte à quel point on peut choquer les gens, même pour une simple histoire de climat."

"Chaque région traversée est un trésor caché d'anecdotes."

"Les artistes n'ont pas le monopole de l'originalité."

"N'est-ce pas ça la cuisine ? Un moment de rencontre, d'échange de partage.
Le tout dans une ambiance festive, en musique, et tout ceci donne aux plats un petit goût en plus;;;Si, si je vous assure...Le goût du bonheur."

Carinne Teyssandier

Le génie c'est d'avoir du talent tout le temps.
Le talent c'est d'avoir du génie de temps en temps.
L'intelligence c'est de savoir que l'on a ni génie, ni talent.
Philippe Bouvard

"[...] les rancunes restent toujours tenaces."

A Sydney, en 2000, l’équipe de basket-ball espagnole, dans la catégorie des déficients mentaux, survole le tournoi. […] Les matchs de poule tournent ainsi à la démonstration avec notamment une victoire 87-20 sur le Japon. Cette domination éclatante est-elle louche ? Plusieurs semaines après le titre, Carlos Ribagorda, membre de l’équipe championne paralympique, révèle être un journaliste infiltré. […] Sur les 12 membres de l’équipe, 10 étaient tout à fait normaux et ne souffraient d’aucun handicap mental. [...] Lors de la deuxième mi-temps contre la Chine, nous gagnions facilement de 30 points. L’entraîneur nous avait alors dit, moitié rigolard moitié sérieux, de baisser un peu le pied, car sinon ça allait se voir…

[Le karatéka Dominique] Valera se rapproche de l’arbitre pour lui demander une explication. Le juge prend peur et esquisse un mouvement de défense. Un geste interprété comme une provocation par Valera qui lui répond… par une gifle. Un deuxième arbitre arrive alors par derrière et tente de le frapper avec la plaque des scores. Le karatéka se retourne et lui assène un yoko-tobi-geri (un coup de pied sauté), en pleine poitrine. Il s’ensuit une bagarre générale, au centre du tatami, faisant neuf blessés, dont quatre juges.

Tout le monde savait, les journalistes les premiers, mais personne n’osait sortir les dossiers. Face à Tapie, protégé par la Miterrandie, c’était compliqué. (Alain Vernon)