p.113 "Luli est obsédée par son téléphone. Au fond, rien d'autre ne compte autour d'elle que son Nokia et l'écran aux reflets vert-de-gris. Elle se dit qu'il n'y a rien de pire qu'un écran digital qui reste inerte, vide, comme mort, comme si tout le lien aux autres était mort, que tous les autres étaient morts, tous ceux de son carnet d'adresse, un cimetière de noms."