C’est avec un sac en kraft rempli de carnets dorés ornés d’un immense piment rouge, porte-bonheur chez les Italiens, qu’elle est repartie.
Elle est prête. Il faut juste rassembler les idées, les dates, les évènements, pour raconter.
Raconter l’horreur, la tristesse, le désespoir.
Raconter le courage, l’espoir, la joie. Raconter Giulia.