Le temps qui passe est cruel et il est si visible sur nos enfants. Un instant nous les portons en nous, et ils s'éloignent ensuite un peu chaque jour. Qui veut abandonner ces instants en or? Qui aime faire le deuil de ce qui passe, de ces petits êtres poteles que nous tenons deux minutes et qui sont si vite adultes? De cette version si petite de ces êtres que nous aimons plus que tout?