Ces derniers mots font vaciller François. Il devient blême. Ses poings se serrent avec une envie de les frapper toutes les deux. Il finit par s'enfuir, et se retrouve dans le jardin. La neige sur son visage lui fait du bien ; elle est comme une main fraîche sur son front. Il marche d'un pas rapide vers le fonds du parc, là où les arbres forment un petit bois, là où il aime aller hurler. Et sous leurs branches décharnées, il se met à pleurer pour la première fois depuis des années.