Dans ce lieu, où le seul but de l’existence était de survivre, on trouvait toutes les explications, effrayantes mais évidentes, au fait que les terroristes et les fondamentalistes religieux puissent recruter des jeunes hommes suffisamment désespérés pour sacrifier volontairement leur vie à une cause. Tant que l’on a quelque chose à perdre, on a une raison de vivre. Ceux qui vivaient là n’avaient jamais rien eu à perdre. PAGE 71