J’avouerai donc que je vis de combines, à part les rentes que me font une demi-douzaine de cocus pour surveiller leurs femmes, et celles-ci peuvent bien lacérer le contrat, ce n’est pas moi qui irai dénoncer leurs frasques. J’ai appris, à l’école, une histoire de poule aux œufs d’or et j’en ai fait mon profit.