AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Citation de le_Bison


La veille du Nouvel An, je m’étais levé une minette bien plus jeune que Julia, dans un bal. On s’était bécotés. Après, on s’était un peu chauffés. Je l’avais invitée à glisser sa main jusqu’à mon entrejambe et, une fois que j’avais enfin réussi à la prendre par les épaules, je l’ai fait agenouiller. Elle avait immédiatement compris, descendu ma braguette et sorti ma queue pour me sucer.
Elle m’avait dit un truc, la bouche pleine. Un truc du genre : « Gaffe, tu me préviens… »
« Ouais, ouais… Sois tranquille… »
La bouche de cette gonzesse était un enfer.
Au moment d’éjaculer, je la tenais par les cheveux.
Un « ah Julia ! » m’avait échappé et elle m’avait regardé, consciente que j’en aimai une autre. Elle s’était relevée, les lèvres pleines de sperme. Elle m’avait donné un petit baiser et avait craché par terre avant de se barrer.
Ça, mes amis, c’était un grand moment de solitude.
Tout ce que tu perds avec un petit baiser.
Qui a le goût de ton propre foutre.
Parce que ce qu’on garde à jamais, c’est ce qu’on a perdu.
Commenter  J’apprécie          102





Ont apprécié cette citation (9)voir plus




{* *}