Car, en reprenant la perception d'un autre écrivain que je respecte, que je m'approprie et que je cite de nouveau : plus qu'à un pays, un romancier appartient à une ville. Une ville qui a une existence matérielle mais aussi, et surtout,un état d'esprit et un réservoir d'histoires personnelles, vécues ou acquises grâce aux lectures et aux confidences.