Lorsqu'à vingt ans, on découvre, ébloui, ce que les siècles ont amassé dans le trésor des lettres françaises, et ce que chaque jour qui passe y ajoute, la littérature canadienne apparaît sous un jour plutôt terne, et l'on s'explique facilement que l'existence même d'une véritable littérature autochtone chez les Canadiens français, ait pu être parfois sérieusement discutée.