Prises ensemble, les trois autoroutes représentaient des millions de tonnes de béton qui changeraient le visage du Triangle, de toute la Caroline du Nord, et permettraient à Durham de sortir de son coma en créant des emplois et de la richesse et en ranimant ce vieux rêve américain. Car, en dépit des discours de Barett Howard, c'était toujours un rêve auquel croyait Robert, un rêve où les emplois et l'argent n'étaient pas des fins en soi, mais les matières premières de la liberté.