Ceux qui ont découvert que le thé vert convient à la lecture de la poésie, le thé rouge à celle des romans, le Bileichun à la délicatesse des vs de Du Mu, le Baihao ou le Zisun à la lecture des anciens, je pense que ceux-là ont vraiment compris la vie et savent en extraire l'essence poétique, tandis que les grossiers, les ignorants comme moi vivent tout simplement en vain.