L'homme parfait est comme mort. Il ignore pourquoi il se meut et pourquoi il ne bougerait pas. Sous le regard des hommes, il ne change pas son comportement extérieur. Il ne change pas davantage ce comportement quand il est à l'abri du regard d'autrui. Solitaire, il s'en va et il vient ; solitaire, il sort et il rentre. Qui peut s'opposer à ses démarches ?