Avec le recul, je vois que tous mes livres se font écho, que chacun repose sur le précédent comme les marches d'un escalier reposent l'une sur l'autre, de sorte que je n'aurai sans doute pas pu écrire le deuxième si le premier n'avait pas existé et qu'ainsi je n'aurais probablement rien écrit du tout, passant à côté de ma vie pour aller me perdre je ne sais où.