Tu devrais sortir avec des hommes pour qui tu éprouves de l’amitié. La passion ne dure pas, tu sais. Quand elle disparaît, l’amitié est indispensable.
On n'est jeune qu'une seule fois. Sers-toi de ton corps tant qu'il peut encore servir !
Un jour, je réalisais que je n'aimais plus le type avec qui j'étais. Quand on couchait ensemble, je le laissais grogner au-dessus de moi et je pleurais en silence. Le pire, c'est que ce genre d'abruti ne se rend compte de rien.
Le contact physique me manque, mais il me suffit de me rappeler l’effort nécessaire pour rencontrer un homme un tant soit peu intéressant, le nombre de rendez-vous détestables qu’il faut subir avant, le temps nécessaire pour que la confiance s’installe au point de désirer s’ouvrir à cet homme, et… et soudain un plat de lasagnes devant la télé m’apparaît comme un substitut bien agréable.
Elle n'avait pas eu de rapports sexuels depuis un an et demi, et il lui arrivait de se dire qu'elle obéirait volontiers à l'instinct animal avec le premier venu. L'instinct animal l'avait cependant amenée à affiner ses critères de sélection et sa prudence. Aussi tentante que soit la perspective, sa santé et son bien-être exigeaient autre chose qu'une nuit sans lendemain avec un inconnu.
L’As d’épée est figuré par un poing fermé brandissant une lame d’un bleu argenté dont l’extrémité est entourée d’une couronne et de verdure.
— Quel genre de changement ?
— Bon ou mauvais, ça dépend. Cette carte représente une force, une énergie et une direction nouvelles. Il s’agit d’un changement drastique, positif ou négatif, et cela peut parler d’amour comme de haine.
Je suis entrée dans un salon de coiffure et j’ai demandé à la styliste une coiffure capable d’attirer les hommes avec une bonne situation et désireux de se marier, au lieu des gorilles sans emploi qui me draguaient d’habitude. Je n’ai jamais compris pourquoi les hommes qui ont le moins à offrir sont les plus enclins à faire des avances à une femme.
Parfois les hommes minces aiment les femmes rebondies. Des os qui se frottent les uns contre les autres, ce n’est pas agréable.
La Révolution française m’intéresse davantage par son impact sur la mode que par ses conséquences pour l’aristocratie française, même si les deux sont mêlés de façon inextricable. Tout devoir d’histoire dont le sujet était laissé à mon choix traitait d’une manière ou d’une autre de vêtements.
Pourquoi nos émotions tissent-elles une toile si délicate, sensible à la douleur, que la moindre bévue peut si facilement déchirer ? Peut-être l’amour et la guerre sont-ils si souvent cités ensemble pour une bonne raison. Dans les deux cas, les victimes sont légion.