Réfugiée dans mon étage, je pensais souvent à mon cousin. Que lui avait-il manqué ? Cette petite flamme qui tout à la fois nous dévore et nous réchauffe, l’envie d’être en vie, la volonté, je ne pouvais mieux dire, la volonté. Et un jour de février, mon cousin ne voulut plus vivre, lui qui avait si peu essayé. Ce furent mes premières vraies larmes.