Un femme retourne seule dans son pays d’origine, au Texas, pour tenter de voir son père avant qu’il ne soit trop tard, pour retrouver sa mère et sa soeur. Elle choisit de faire le trajet de l’aéroport à chez elle en stop et semble avoir un lourd secret à porter. Le rythme est lent, on s’attarde sur ses rencontre avec un bande de marginaux qui voyage en combi Volkswagen, le graphisme est un peu raide, le style est réaliste, la couleur est en aplat vifs cerné de traits noirs appuyés, un peu lourd, le tout est assez raide, comme les dialogues. Je n’ai pas vraiment adhéré, la révélation finale est amenée de façon tout aussi lourde que le graphisme, on ne s’attarde pas vraiment sur les personnages, on sent le récit ne tourne qu’autour de cette révélation finale, écrasant tout sur son passage, les tentatives de diversions tombent à plat, la fille et le mari restés en Angleterre n’apportent rien, sinon un apitoiement forcé, et l’histoire d’il y a 19 ans reste trop dans l’ombre. Bref, je n’ai pas été touché par cette histoire trop artificielle, et un peu trop superficielle.
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Afrique coloniale, Congo 1934.
Les illustrations sont réalisées aux traits épais, avec une forte présence de noir, les couleurs sont en aplats de couleurs intenses et saturées, sur un papier texturé qui renforce leur profondeur, avec ses contrastes forts cela accentue l’effet de chaleur, de torpeur et de dureté des esprits. On est en 1934, au Congo, entre région d’influence française et belge, l’histoire coïncide avec la fin de l’inauguration du chemin de fer Congo-Océan, qui a été construit avec le sang des indigènes. C’est un récit sur le colonialisme, à une époque où Pierre Laval était ministre des colonies. On évolue dans un milieu d'affaires coloniales, des exploitants européens sans scrupules, pour qui le travail des autochtones à un relent d’esclavagisme, ce ne sont de toute façon qu’un ramassis de fainéants qu’il faut faire travailler à coups de fouet… Gloria est la fille d’un forestier français, et elle a le malheur d’attendre un enfant conçu avec Walter, cruel et stupide fils d’un exploitant minier britannique, cynique est sans scrupules. Dans ce milieu, Gloria se morfond, et lorsque Paul Roncil, photographe et musicien, surgit dans sa vie, le désir d’émancipation se réveille. On pense bien sûr à
Out of Afrika, c’est un récit romantique, tragique, une variation sur fond de colonialisme de Tristan et Iseult, avec un soupçon de légende africaine qui vient s’y greffer, l’intrigue romantique et le récit africain se chevauchent, avec le personnage de Nemo, ami africain de Paul et le conte du Calao blanc qui donne une dimension universelle et poétique à cette tragédie.
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L’auteur reprend les mêmes ficelles dans ce second tome, jusqu'au personnage d’Honoré de Balzac ; même si le principal interprète est ici Henri Georges Clouzot, cinéaste connu et réputé qu’un inconnu tente de discréditer.
On découvre les dessous du 7ème art, magouilles, drogues et corruption sous couvert de parodie. .
les dessins et les dialogues sont aussi réussi que dans le premier album.
On se lasse un peu de la technique employée qui fait ressentir un déjà vu, déjà lu.
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Dans ce tome, Henri-Georges Clouzot réalise un film qui est en fait le premier tome de cette série avec Balzac comme personnage principal. Alors si ce tome est un peu moins spectaculaire que le précédent et le suivant, cela reste encore un jeu sur la mise en abyme totalement maitrisé.
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Voilà une BD qui se lit vite ! J'ai avalé le second tome en à peine une demi-heure.
Ce volet est riche en informations, on en apprend beaucoup plus sur Edwards et sur Elizabeth. La théorie sur Jack L'Éventreur est connue, l'auteur n'a pas fait montre d'une grande imagination sauf en ce qui concerne la participation d'Edwards.
C'est celle du complot et de l'implication de la Reine Victoria et du Docteur Gull. Théorie fantaisiste à mes yeux, je n'y accorde aucun crédit.
Il n'empêche que le scénario est bien ficelé et qu'il tient la route... surtout si on a beaucoup d'imagination.
Le dessin est toujours aussi soigné, détaillé et la colorisation est réussie.
En bref, Wounded a été une belle surprise.
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Un deuxième tome qui reprend la vie de Balzac du tome 1 pour en faire un film. Exactement le même genre de récit, avec pour protagonistes le réalisateur, le producteur et les acteurs de ce film. Une fois de plus les auteurs utilisent des personnes réelles pour leur fiction. On a la aussi on a une narration en abyme, avec la même manipulation, proche de la schizophrénie.
Si la lecture reste sympathique, je n'ai pas été plus emballée que pour le premier tome. Si on voit le fil conducteur se dessiner on se demande si il va y avoir un récit commun, ou un but commun.
J'ai eu du mal à trouver de la sympathie pour les personnages.
J'aime beaucoup moins les dessins que je trouve moins précis. Enfin c'est surtout le style dont je ne suis pas fan. je trouve que ça manque un peu de finesse. Ca ne gâche pas non plus la lecture.
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Il y a 400000 ans apparaît sur Terre le premier représentant direct de notre espèce : l'Homo sapiens. Très vite, il se lance à la conquête du monde et de l'imaginaire. Ses enfants vont traverser les mers et les montagnes et s'adapter à tous les climats. Plusieurs fois, ils perdent tout, mais trouvent toujours le moyen de survivre et d'aller au-delà de leurs limites.
Ils apprivoisent les plantes et les animaux. Ils construisent des villages et changent les paysages. L’homme devient la plus puissante créature du monde animal. Ils se lancent à la conquête de l'imaginaire, découvrent l'art, la magie et les rêves. Nous sommes leurs enfants. Leur savoir s'est transmis sur plus de 50000 générations pour arriver jusqu'à nous.
Quelle est leur véritable histoire ? Comment ont-ils peuplé la terre ? Ceci est l'histoire de leur fabuleuse ascension tiré d'un documentaire à succès sur une chaîne télévisée. Je l'avais vu et j'avais beaucoup aimé. Là où la caméra s'arrête, le dessin continue. C'est une belle leçon de Préhistoire à découvrir.
Tous les êtres humains qui peuplent la planète descendent de cette même famille alors qu'une autre espèce du genre humain tout aussi puissante aurait pu prendre le dessus à savoir l'homme de Neandertal. Et pourtant, ces derniers vont subitement disparaître vers - 27000 ans sans qu'on puisse en connaître véritablement les raisons. On n'a pas finit de s'interroger sur les mystères de l'apparition de l'Homme sur Terre.
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J'imaginais que les différents tomes de cette courte série étaient indépendant les uns des autres : ce n'est pas le cas. Certes le lien est minime, mais il existe, et il vaut mieux les lires dans l'ordre. Coup de chance, car il me semble me souvenir que j'ai un temps pensé les emprunter un peu au hasard.
J'ai eu un peu de mal à entrer dans ce récit. Je ne savais rien des débuts de réalisateur de Clouzot, aussi j'étais un peu perdue sur les premières planches. Mais, le procéder de mise en abîmes est toujours le même, aussi il n'y a plus la surprise du premier tome.
Le procédé narratif avec des allers et retour dans le temps m'a un peu déstabiliser aussi.... bref je ne suis pas convaincue.
A suivre sur le dernier tome.
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Ce tome est le deuxième d'une trilogie qui forme une histoire complète et indépendante de toute autre. Il est initialement paru en 2013, un mois après le premier tome qu'il vaut mieux avoir lu avant. le scénario est de Valérie Mangin, les dessins, l'encrage et la mise en couleurs de Loïc Malnati, avec l'aide de Benoît Picard et Damien Garavagno.
L'action commence en 1946, en septembre. À Paris a lieu la première projection du film "Le mystère Balzac" d'Henri-Georges Clouzot. Il s'agit de l'adaptation d'une partie de la vie De Balzac qui faisait l'objet du premier tome de la présente trilogie Abymes. le réalisateur est absent, il se fait attendre, alors que Charles Barrant-Rondeau effectue un petit discours de présentation, et que Suzy Delair et Bernard Blier sont présents dans la salle.
L'histoire revient quelques mois en arrière alors que Charles Barrant-Rondeau se rend à Bayeux pour y rejoindre l'équipe de tournage qui finit les prises de vue en décor naturel. Il a apporté un petit remontant (sous forme de poudre blanche) à Suzy, puis regarde les derniers rushs avec Clouzot. Ce dernier a la surprise de voir apparaître des images qu'il n'a pas tourné lui-même. À l'extérieur les habitants n'ont pas pardonné au réalisateur ses compromissions avec l'occupant, et par contre sont heureux de voir Barrant, un résistant valeureux.
Cela n'aurait pas grand sens de lire ce tome indépendamment des 2 autres. le lecteur a donc déjà bien assimilé le fil directeur de l'intrigue : un petit malin s'amuse à dévoiler des secrets pas jolis à la populace, aux dépends du créateur (ici un réalisateur de film). En ayant à l'esprit la chute du premier tome, le lecteur connaît également l'identité de ce corbeau dès le début. le mystère n'a donc pas de secret pour lui.
Afin de pouvoir publier les 3 tomes de la trilogie à intervalle rapproché (1 mois entre chaque tome), les auteurs et l'éditeur ont opté pour la solution de confier chaque scénario à un dessinateur différent. D'un point de vue narratif, ce choix fait sens puisque chacune des 3 histoires se déroule à une époque différente, avec des personnages différents. Il n'y a donc pas de nécessité à maintenir une unité graphique, voire 3 approches différentes visuelles donnent plus de relief à chaque époque.
Le contraste entre les dessins de Griffo et ceux de Malnati n'est pas à l'avantage de ce dernier. Griffo avait su procéder à une reconstitution historique vivante et respirant l'authenticité, sans en être l'esclave. La reconstitution de Malnati est à la fois plus académique, et moins précise. Lorsque Barrant prend le train à la gare Saint Lazare, les costumes manquent de détails, et l'architecture de la gare est escamotée en arrière-plan, restant très vaguement esquissée. Les aménagements intérieurs sont plus quelconques. Même la reconstitution du bureau d'Honoré de Balzac manque de personnalité. Une part de responsabilité incombe à la mise en couleurs un peu terne. D'un côté, cela correspond bien à la période de pénurie de l'après-guerre, de l'autre cela rend les planches un peu mornes.
Malnati est un metteur en scène aux qualités professionnelles également inférieures à celles de Griffo. À nouveau le lecteur a le sentiment d'images moins bonnes, moins vivantes. À y regarder de plus près, Malnati évite de trop se reposer sur des cases ne comportant qu'une tête en train de parler. Sa reconstitution historique apparaît solide et honnête, même si elle est moins riche que celle de Griffo. Chaque séquence est immédiatement lisible et il gère avec habilité la profondeur de champ et le placement des personnages.
La vie alternative d'Honoré de Balzac mise en place dans le premier tome sert donc de support au nouveau film (fictif donc) d'Henri-Georges Clouzot. Comme pour Balzac, Valérie Mangin sait de quoi elle parle. L'idée d'un film sur Balzac est un double déformé du film bien réel Le mystère Picasso (1956) de Clouzot. Elle évoque avec pertinence les conséquences de son travail pour Continental Films (une société fondée par Joseph Goebbels) pendant la seconde guerre mondiale, ainsi que l'impact négatif sur l'image de la France de son film Le corbeau (1943).
S'il n'y a pas de suspense quant à l'auteur de ces délations sous forme de rush, la reconstitution historique met bien en scène les tensions persistantes entre français, dans la période de l'après-guerre. le suspense provient d'une autre source : les liens du docteur Petiot avec Clouzot, et peut-être avec la résistance. le dénouement apporte son lot de surprises quant au rôle d'un des personnages du récit.
Comme dans le tome précédent, le titre "Abymes" invite également le lecteur à s'interroger sur le comportement du créateur, à ne pas s'arrêter à la reconstitution historique et au suspense quant au sort et au financement du film en cours de tournage.
Honoré de Balzac incarnait le créateur, sous la forme d'un écrivain que la postérité a encensé. Henri-Georges Clouzot incarne un créateur dans un autre média : le cinéma. Valérie Mangin déballe toutes les turpitudes au sein desquelles se développe le processus créatif. À l'opposé d'une vision idyllique pure et désintéressée, elle montre la tyrannie du créateur, sa façon de n'envisager les autres que comme des figurants dans son grand oeuvre, les bassesses morales et autres compromissions des acteurs, techniciens et autres. Même le preneur de vues compromet son idéal communiste pour pouvoir travailler dans un contexte où il y a peu d'offres d'emploi dans sa spécialité.
À nouveau, le lecteur ne peut pas s'empêcher de transposer cette vision du créateur assujettissant son entourage à sa création, à la Valérie Mangin elle-même créant cette propre bande dessinée, l'idée que l'oeuvre d'art est la rencontre de la vision du créateur avec les réalités pas forcément reluisantes du milieu dans lequel il se développe.
Ce deuxième tome revêt une apparence moins séduisante que le premier. La personnalité de Clouzot est moins flamboyante que celle De Balzac, et tout aussi narcissique. Les dessins de Loïc Malnati n'ont pas la beauté de ceux de Griffo, ni leur panache. Pourtant la reconstitution historique reste convaincante, et les thèmes sous-jacents ne sont pas une simple redite de ceux développés dans le premier tome. En fonction de ses attentes, le lecteur pourra trouver que le dispositif narratif se répète et que le dessinateur aurait pu être mieux choisi, 3 étoiles. Ou alors, il pourra trouver que la réflexion sur l'acte de création est abordée dans un contexte différent (un média collaboratif) et développé dans un axe amenant un autre point de vue. 4 étoiles malgré des dessins peu engageants.
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Une bonne narration avec des dessins de qualités à découvrir.
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J'ai moins aimé ce 2e tome, peut-être parce que l'élément de surprise du genre n'y était plus. Par contre, les illustrations sont toujours très belles et l'histoire présente un certain intérêt.
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La suite ! Qui débute avec la projection du Mystère Balzac. Ce film sera le fil de cet album, son nœud sa tension son dénouement.
Parce que quelqu'un s'amuse avec les rushes à mettre en scène le trio acteur-actrice-réalisateur, dans des situations compromettantes. Que cela ne calmera pas le tempérament volcanique de Clouzot, d'autant que les tensions sont déjà exacerbées, dans cet après-guerre aux relents d'épuration.
Et la tension monte monte monte ! Jusqu'au paroxysme et au dénouement, forcément fatal.
Un scénario sans faille, une belle continuité graphique dans le changement de dessinateur (mais chacun à sa propre patte). Ici,le dessin est un peu plus classique, moins sombre que dans le précédent. Toujours adéquat.
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Avec la fin du précédent album, on pouvait se demander en quoi on allait avoir une suite ?
On est comme dans une adaptation de l'histoire du tome 1, de ce cher Balzac.
Ici, on a encore une fois de quoi virer parano, et de quoi étaler l'intimité des gens avec des rushs qui n'ont rien à voir avec le film.
Jusqu'où aller pour faire un bon film ? De plus, Clouzot n'est pas apprécié par tout le monde, traité de collaborateur, les manifestants sont hostiles.
Dans un monde d'après seconde guerre mondiale, des masques tombent.
Qui a vraiment fait quoi ? Qui et pourquoi faire un coup pareil sur ce film ? Comment ça va finir ? Le film va-t-il arrivé à être fini ?
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La critique acerbe du star système se poursuit dans ce deuxième tome qui clot l’enquête. Personne n’y échappe, que ce soit les célébrités elle-même ou encore les médias. On critique aussi l’adoption d’enfants étrangers par les stars. Et bien d’autres. Et c’est vraiment cela qui est intéressant dans cette bande-dessinée. L’enquête reste quand même bien menée et on ne l’oublie pas. Très bonne petite série assez violente, dans le fonds comme dans la forme.
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Apprendre à tatouer est le premier tome de la série La Mécanique du Tatouage. Un superbe livre qui rappelle en tout premier lieu que « le tatouage est un acte définitif et irréversible » et que cela doit être un acte réfléchit. L'auteur nous présente son parcours en tant qu'artiste tatoueur mais aussi partage son expérience qui s'étend de la création du modèle, à sa reproduction sur le corps du tatoué. Les étapes sont nombreuses avant que l'encre vienne noircir votre peau. Elles sont ici détaillées et mises en lumières par des nombreuses illustrations, photographies et même dessins humoristiques. On y apprend l'utilisation d'un transfert qui assurera le bon emplacement et guidera le futur travail mais il existe aussi une autre technique. Le Freehand où le dessin se fait directement sur la peau. Chaque technique a ses avantages. Le matériel utilisé est largement décrit, j'ai trouvé cela intéressant de voir qu'il y a de nombreux outils à disposition en fonction du trait que l'on veut obtenir fin, épais, ou encore pour le remplissage où les ombrages. Il y est aussi question du choix des encres car la couleur est aussi permise. Ce n'est pas pour rien que le mot mécanique est employé dans le titre , il y a une tendance steampunk dans le choix des modèles présentés et le travail effectué est remarquable. Je pense qu'il s'adresse aussi bien aux apprentis tatoueurs qu'aux futurs tatoués qui veulent en savoir plus. Il répond à de nombreuses questions et donne envie de passer sous l'aiguille de son créateur. Un tome 2 est dors et déjà en librairie qui s'attachera plus au côté artistique de la création. Bonne lecture.
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Vous aimez le crade, le cra, le sale, le vicieux, le lourd, le non-sens, la bizarrerie, le dément et le "de trop" ??? ... Alors Dédé Tatoo est pour vous !!! oui vous et même si ce n'est pas vous, .... c'est pour vous aussi !!!!
Bref, qu'en dire ?
Plus de 90 pages de mini strips, un gag par page de la fabuleuse aventure et rencontres d'un tatoueur français, de son apprenti, de sa petite fille et de ses tatoués.
A rire, mais à ne pas mettre dans les mains des plus petits car c'est nettement pas pour eux ..
Regardez aussi le dessin dans le dessin, c'est bourré (un peu comme certaines des ses héroïnes) d'humour.
J'ai adoré, bah oui,
Dédé Tatoo est d'abord une page Facebook que je suis depuis ses débuts et est maintenant aussi une application.
La bébé actuelle a été dès le départ en rupture de stock (j'ai eu l'avant-dernière je pense :-) )
MAIS vous pouvez toujours la commander chez l'auteur :-)
Bref, laissez-vous aller à une folie furieuse de tatoo
et qui sait , faites vous en faire un :-)
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