Ton fils va mal, c'est bon signe. Quand la vie vous disloque, il faut tomber pour mieux se relever, cabossé mais vivant...
Je le regarderai encore une fois partir au collège demain matin, la tête baissée, les épaules affaissées sous le poids de ton départ. Sa longue silhouette se balance. Ses grands pieds dansent sur le trottoir. Son corps pleure pour lui, c'est flagrant.