Imaginez partir en vacances en Russie avec votre moitié. Amoureux comme jamais, vous parcourez les plus beaux sites du pays jusqu'à ce qu'un guide vous conseille une superbe randonnée aux abords de Grozny. Direction donc la Tchétchénie. Tandis que ce même guide vous demande de rester à l'hôtel, vous décidez de vous rendre dans un bar où le hasard veut que vous rencontriez un expat' français. Génial ! Mais alors que les souvenirs d'une soirée arrosée surgissent à votre réveil, vous ne savez pas, ne comprenez pas où vous vous trouvez. Privé de droits, retenu dans une cellule sale et froide, dorénavant votre nom se limite à votre matricule : HS 7244. Que s'est-il passé ?
S'inspirant d'un fait réel, Lorraine Letournel Laloue offre avec ce premier roman une descente aux enfers impitoyable sous fonds d'actualités politiques. Rien que ça ! Terrible, effrayant, glaçant, ces qualificatifs ne sont rien à côté de ce que j'ai pu ressentir à la lecture de ce thriller à la fois violent et émouvant. Pour preuve, je l'ai terminé presque en larmes...
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Que c'est dur le vrai, que c'est cruel ce qu'aucun mot ne sait nommer.
Il l’a toujours dit à ses proches : si un jour il doit se trouver dans un état de souffrance physique ou psychique constante et insupportable, il souhaite être euthanasié. Pourquoi laisser endurer à un être humain un lent trépas alors que nous sommes plus cléments envers les animaux et ne leur imposons pas ce sort ? Pourquoi ne pas offrir la délivrance de l’âme quand la souffrance s’immisce de façon incontrôlable dans notre chair, nos veines et notre esprit ?
L’amour n’a pas de couleur, pas d’âge, pas de genre ! Il remue les tripes et le cœur. Il nous prend en otage pour le plus beau des voyages.
Sa jambe droite est maculée de sang, le tissu de son pyjama est déchiqueté, je vois les os ressortir de son genou et la peau, arrachée presque délibérément, pourrait-on croire, tomber en lambeaux autour de cette terrible entaille. Je m’assieds sur mon lit de fortune et me contorsionne dans tous les sens en grimaçant devant ces terribles images, mais je ne veux pas rater une miette de cet horrible spectacle.
Tous ces politiques abusent de leur pouvoir et se croient au-dessus des lois, ils imaginent qu’ils sont intouchables, ils profitent de leur immunité et prennent toutes les libertés. Un jour, tout cela changera.
connaissant la personne de part son groupe et aimant le thriller je n ai pas resister surtout en lisant la 4ème de couverture. le livre est un livre sur un fait vrai l auteur a travers son premier roman nous ouvre les yeux sur un sujet .ce livre est bien ecrit il est rythmé les personnages sont attachants tellement la dureté est la
en fait ce livre je l ai adoré et dévorer en une journée
Mais vivre, c'est quoi? Ici, vivre, c'est subir.
Avant de m'endormir définitivement, il me montre la fameuse photo où Camille et moi faisions ce que ces dégénérés appellent de la propagande. C'est une belle image que je peux visualiser et ancrer dans mon âme avant de m'éteindre à jamais, celle de Camille et moi en train de nous embrasser à l'aéroport.
Notre amour est aussi sincère que les autres, nous ne sommes coupables de rien, juste d'être heureux….la différence inquiète, apeure, terrorise…..ma différence j'ai aimé la vivre à tes côtés……...
C'est quoi le problème d'aimer ? L'amour n'a pas de couleur, pas d'âge, pas de genre! Il remue les tripes et le cœur. Il nous prend en otage pour le plus beau des voyages
Une main me saisit par les cheveux, m’oblige à me mettre à genoux et à pencher ma tête en arrière. J’entends alors le bruit caractéristique d’une tondeuse : mes cheveux vont être rasés. La panique me foudroie le cœur, je ne capte plus rien. Mes si beaux cheveux, ceux que Camille adorait toucher et tourner entre ses longs doigts manucurés ! On me tond avec brutalité. Je hurle au moment où la machine passe sur ma blessure, la douleur est atroce, insoutenable. J’ai l’impression qu’on me creuse le crâne sans anesthésie, d’être l’acteur d’un de ces films d’horreur qui me font flipper tant les protagonistes interprètent si bien la souffrance. Je vois les mèches tomber les unes après les autres sur le sol en faïence au rythme des sanglots qui me saisissent. Les images atroces de cet endroit vont, je le sais, marquer mon esprit à jamais…