Je n’aime pas les salons d’ensemble. J’estime qu’à réunir des oeuvres de disciplines différentes, on ne risque que de les desservir. Lorsque les factures s’opposent, elles mettent surtout évidence leurs défauts respectifs. La critique s’y perd et, par mesure de prudence, s’en tient à des généralités qui mécontentent tout le monde.