Les laquais accourent, empoignent le bonhomme, l’emmènent à l’écurie, et le régalent de coups, mais tant et si bien qu’il peut à peine se tenir.
Après ce bel exploit, la vieille fait de son mari le portier de la maison ; elle lui fait donner un balai et lui commande de balayer la cour et d’aller manger et boire dans la cuisine. Dure vie pour le pauvre bonhomme : balayer la cour toute la journée ; et, si elle n’est pas propre, gare à l’écurie !
— Quelle sorcière ! pensait le pauvre diable ; elle a le bonheur en partage et elle s’y roule comme une… Voilà maintenant qu’elle ne veut plus de moi pour mari.