Maintenant regardez, au sein de cette richesse et de cette abondance, ces pauvres nègres sont nus, décharnés, qui meurent de faim, et qu'on pousse au travail tels que des animaux ! Regardez surtout, dans l'enceinte de l'habitation, ces trois hommes attachés là, le ventre contre terre, les membres étendus, et que d'autres, avec de longs fouets, frappent à coups redoublés, excités qu'ils sont par les menaces du régisseur et du maître ! Leur sang ruisselle ! leur chair vole en lambeaux ! Mais pas un cri, pas une plainte !