L'isolement rendait les détenues apathiques ou bien complètement nerveuses. A quel moment pouvait-on croire qu'en déshumanisant les gens, en les privant de leurs libertés fondamentales, on les remettait dans le droit chemin et les aidait à devenir des citoyens équilibrés émotionnellement ? Personne ne sortait indemne de ces cinq mètres carrés de solitude.