Jamais elle n'avait considéré le dragon comme un objet de compassion ; mais en le percevant emprisonné dans les rets d'une antique magie, sans compter le puzzle intriqué de charmes secondaires dérivant de cet événement fondateur, elle se sentit ridicule d'avoir versé des larmes (ndr : sur son propre sort). N'importe quelle occurrence, y compris la plus heureuse, pouvait être source de tristesse si on échouait à la voir dans le contexte du monde que l'on habitait.