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Citations de Lucy Lennox (70)


Cet homme était arrivé en ville, comme un rien, et il m'avait saisi au vol, dans le ciel.
Je ne m'étais pas attendu à lui. Je n'étais pas prêt, d'ailleurs, à lui. Mais il était là, et quelque chose en moi me suppliait de le retenir de toutes mes forces.
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Avant d'entrer dans ma voiture, Finn se dégagea de moi pour se jeter dans un buisson proche et de rendre toute la joie accumulée au cours de cette soirée.
Je me tins à bonne distance de son festival gastrique, et je préparai des lingettes et une bouteille d'eau près du coffre, pour quand il aurait terminé.
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Chapitre 2 :
Worth
«…Depuis quand un inconnu ne m’avait-il pas charmé autant ?
— Je dirais qu’embarquer clandestinement sur le bateau de quelqu’un est quelque chose de mal, suggérai-je.
— C’est un sous-entendu ?
Son sourire était adorable et dragueur. Il en rajoutait sans doute une couche pour se tirer d’affaire.
— Parce que si c’est ça, je suis partant.
— Expliquez-moi, exigeai-je en m’approchant de lui.
— Moi ? répliqua-t-il sur un ton indigné, en posant la main sur sa poitrine. C’est vous qui avez kidnappé une victime innocente !
Je le dévisageai, incrédule.
— Kidnappé ?
— Oui. J’étais simplement en train… euh… d’inspecter le placard de ce charmant… navire quand vous…
Il soupira et s’affala sur son siège.
— Très bien, mais vous pouvez vous asseoir ? Vous me donnez l’impression d’être dans un film de mafieux des années
trente, mais je vous le promets, je ne sais pas où est parti Bugsy avec la marchandise.
Je posai mes fesses sur le bord du lit.
— C’est mieux ?
Il se détendit légèrement.
— Un peu.
Je soupirai.
— Continuez, dis-je en agitant la main pour lui indiquer d’en venir plus vite au but.
— Je suis né dans une petite ville texane appelée Hobie, commença-t-il en s’adossant à son siège pour se mettre à l’aise.
Après un temps d’arrêt, je me rendis compte qu’il avait bel et bien l’intention de me raconter l’histoire de sa vie.
— Accélérez jusqu’au moment où vous vous êtes retrouvé embarqué sur mon bateau.
— Si seulement c’était un jeu de mots, marmonna-t-il. Vous n’êtes pas drôle. Vous auriez adoré l’histoire de ma première fois à dos de poney.
Il renifla et contempla ses ongles.…»
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Eh bien, mon cœur venait de fondre et d'être versé dans un moule en forme de Christian Lasley.
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Marche Nuptiale : Chapitre 1 :
Simone
«… Blue s’accroupit à côté de mon tabouret, récupéra le tube et me prit les mains. Il me regardait avec une telle tendresse que j’allais vomir.
— Je vais dégueuler, le prévins-je.
— Non. Les nausées matinales sont finies depuis des mois. Tu es forte comme un bœuf, maintenant.
Je le fusillai du regard.
— Ce n’est pas le genre de choses qu’un frère aimant est censé dire à sa sœur le jour de son mariage. Me traiter de bœuf, c’est…
Je baissai les yeux vers mon immense ventre de femme enceinte.
— Cruel.
Blue caressa l’énorme boule cachée sous les couches de tissu.
— C’est le fils de Joel Healy, déclara-t-il avec tendresse. Il va être fort comme un bœuf, lui aussi.
La tendresse de mon frère avait toujours été ma kryptonite, et me rappeler que je portais le fils de Joel déclenchait toujours les grandes marées. …»
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Je souris tout seul, content d’avoir retiré son enveloppe protectrice pour révéler l’homme sensuel et vulnérable en dessous. Celui qui n’était fait que pour moi, comme je l’espérais dans le secret de mon cœur.
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Je fermai les yeux et priai le Dieu des erections pour qu’il calme mon sexe au garde à vous.
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Gwen avait tort. Il était absolument impossible que Brody soit intéressé par moi, à moins qu'il apprécie curieusement les hommes avec le quotient émotionnel d'un légume racine.
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Je voulais me glisser sous sa peau de la même manière qu'il vivait actuellement sous la mienne.
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Chapitre 1 :

Falcon

«… De nos jours (Deux ans plus tard)

— Il… Il est sérieux, là ? Qu’est-ce qu’il fout ?

Je me repassai la vidéo en marmonnant tout bas devant l’audace du Chaton. Sans surprise, c’était bien Kingston Wilde qui sortait par la grande porte du Pergamonmuseum de Berlin douze heures plus tôt, au moment où les pièces et lingots grecs avaient été dérobés.

— Tu t’en décroches littéralement la mâchoire, commenta Linney de son doux accent chantant irlandais. Pourquoi es-tu aussi surpris ? On savait qu’il était derrière ça. Où est le problème ?

— Oui, mais… il ne s’est pas fait prendre. C’est… C’est ridicule. Il a juste…

Je plaquai la main sur l’écran.

— C’est ridicule, répétai-je, faute d’un meilleur mot.

— C’est peut-être son arrogance qui le perdra un jour, dit-elle en tapant sur le clavier de son ordinateur.

Sur son bureau en bazar s’entassaient trois gobelets de café vides et un mug en céramique de thé fumant. Il était plus de cinq heures du matin, et cette affaire nous avait occupés toute la nuit.

J’appuyai sur pause au moment où Kingston se tourna, dévoilant son visage dans la caméra. Un geste si effronté, si évident. Le Chaton était aussi arrogant que l’affirmait Linney, mais il n’était pas idiot. … »
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Chapitre 4 :

Commandant Weston Marian

«… Doc me regarda ; son visage exprimait un mélange de surprise et de soulagement.

— Je pense que c’est eux. J’entends de l’anglais, dit-il avec excitation. Allons-y !

Je le retins par le bras.

— Attends ! On ne peut pas se précipiter comme ça. On doit s’approcher prudemment pour qu’ils ne nous tirent pas dessus.

Il plissa les yeux et répliqua entre ses dents.

— Je ne suis plus un putain de p’tit bleu, pour le cas où tu ne l’aurais pas remarqué, commandant.

Il avait raison, évidemment, et pourtant, je ne pouvais m’empêcher de m’inquiéter qu’il se mette en danger.

— Reste derrière moi, grognai-je. …»
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J'étais foutu. Il m'avait eu. Et il était temps que je lui dise.
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Je n'étais pas sûr de la raison pour laquelle ma libido s'était si fermement attachée a ce petit mec, mais clairement, elle avait fait son choix. Je le voulais nu sous moi, sur moi, n'importe. Je voulais faire courir mes mains sur sa peau douce et y faire des dessins abstraits avec ma langue.
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Le sourire de Mikey était adorable. Il avait cette fosette près du coin gauche de ses lèvres. Ça me donnait toujours un peu envie de l'embrasser. Juste un peu.
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— Pourquoi es-tu aussi compréhensif ? Tu me pardonnes tout.
On dirait presque que je l’agaçais.
— Parce que j’ai passé dix ans à t’en vouloir ! J’en ai marre, maintenant. Je t’aime tellement que je n’ai qu’une envie, c’est t’enlacer, bon sang. Te caresser, t’embrasser, te sucer et te baiser ici, sur l’herbe s’il le faut. Alors, viens là, bordel.
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 J’allais craquer. J’avais tellement besoin qu’il comprenne. Je baissai à nouveau la tête et me roulai en boule contre lui. Je ne voulais pas qu’il me voie pleurer.
— Je t’aime.
Il ne dit rien de plus. Pourtant, ce fut suffisant pour ouvrir les vannes.
— Oh, Seigneur, sanglotai-je contre son cou. Otto, je suis désolé. Je suis tellement désolé. 
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— Qu’as-tu dit à Walker à la fin ? demanda Papi en gloussant. Il avait la tête d’un type auquel tu aurais révélé que tu portais un jockstrap à paillettes. C’était un bâton dans sa poche ou bien il était heureux de…
Doc lui donna un coup de coude, hilare.
— Arrête, c’est dégueu. 
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Même si j’avais passé dix ans à le haïr de m’avoir quitté, je le voulais si désespérément que ça me coupait le souffle. Je ne savais pas ce que je deviendrais si je me confiais à lui et qu’il me rejetait à nouveau.
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Chapitre 10 :
TRISTAN
«…
— Que je me détende ? Tue s en train de me dire que j’ai sucé mon futur beau-frère, mon futur beau-frère hétéro et je suis censé me relaxer ? Gronda-t-il d’une voix basse qui montait en puissance.
Il parla bien plus fort quand il laissa échapper enfin sa colère.
— J’ai couché avec toi, bordel, cria-t-il à l’instant même où je hurlai :
— Manifestement, je ne suis pas hétéro.
Des exclamations stupéfaites retentirent derrière nous et nous tournâmes vivement l tête. Une bonne poignée de sexagénaires étaient aux côtés de Simone près de l’entrée et nous dévisageaient, bouche bée. John avait dû rentrer.
Je faillis exploser de rire devant l’absurdité du moment. Bizarrement, je pensais que Blue allait perdre les pédales, mais il me surprit. Il haussa les épaules et se pencha pour me murmurer à l’oreille.
— Veux-tu toujours jouer les faux petits amis ? Parce que là tout de suite, ça me dirait bien de bousculer un peu certaines volontés. S’ils croient qu’ils vont passer la semaine à me caser avec des inconnus, ils se trompent lourdement.
— Ça marche pour moi, répondis-je avec un clin d’œil.
— Au passage, tu portes le tee-shirt spécial réunion de famille. Bienvenue dans la famille Marian. Il faut toujours se méfier de ce qu’on souhaite.
...»
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Chapitre 2 :
TRISTAN
«…
— Tu sais, déclarai-je soudain, on devrait se venger pour toi.
C’était peut-être l’alcool qui parlait, mais cette idée me semblait encore meilleure formulée à voix haute.
— Ah oui ? C’est aussi ce que je me disais. Vas-y. As-tu des idées ?
Blue posa son coude sur le bar et son menton sur sa main, face à moi. Son sourire sournois était hypnotisant.
— Je pourrais faire semblant d’âtre ton copain, suggérai-je moi-même surpris par cette idée.
Bon sang, ça vient d’où, ça ?
Blue rit.
— Oui, c’est ça.
— Quoi ? Que veux-tu dire ? Pourquoi pas ? Demandai-je. Je ne suis pas assez bien pour toi ?
Je feignis une profonde indignation en portant une main à ma poitrine. Blue sourit.
— Ne te trompe pas, Tristan. Tu es chaud comme la braise. Mais tu sembles avoir oublié que tu es hétéro. Pas sûr que tu puisses convaincre les gens que tu es gay et encore moins attiré par moi.
— Mec, je peux être gay. Je peux être TELLEMENT gay, expliquai-je.
— Non, rit-il. Tu ne peux TELLEMENT pas. Ce n’est pas grave, mon ange. Sucer des queues, ce n’est pas donné à tout le monde. Ne te sens pas mal pour ça.
Je ne pus que rire à sa remarque.
— Bon, d’accord, j’avais peut-être en tête quelque chose de plus léger que sucer des queues, mais ça ne veut pas dire pour autant que je ne peux pas être convaincant dans le rôle de ton copain. Ce n’est pas comme si j’étais vierge.
Blue n’eut pas l’air convaincu, il haussa un sourcil dans ma direction comme pour demander : «Mais tu l’es, non?».
Je n’avais qu’une seule envie : trouver un mayen d’effacer ce sourire suffisant de son visage et lui prouver qu’il avait tord.»
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