CORPS EN PEINE
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Oublis de tristesse, d'un amour, de la vie,
Noyés comme un corps sans lumière, sans air, mort.
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Des fleurs de paisible lumière au loin s'éveillent,
Fleurs de lumière peut-être, ou regards si beaux
Comme put le noyé les rêver une nuit,
Sans amour ni douleur, dans sa tombe infinie.