Nous avons bu les derniers matés avec El Tano et puis nous l’avons laissé à son travail, à son bois, à son violon qui, un jour, distraira un esprit tourmenté ou, au contraire, fera peser plus lourdement sur lui la nostalgie latino-américaine si le musicien ressemble au “Becho” de la milonga de mon frère Alfredo Zitarrosa : Becho veut que son violon soit un homme, qui jamais ne nomme, l’amour ou la douleur…