La poignée de la porte est moite
La poignée de la porte est moite. Un rayon s’y
reflète comme un sourire. Un lézard minuscule et
doré se faufile par la serrure. Vers l’extérieur. Le
panneau de bois transpire du parfum des fleurs et
du cri jouissif de la mésange.
J’ouvre la porte. Le bleu m’envahit. Entièrement.