Sa simplicité est dans la conception de l'amour. Pour Mme de la Fayette, l'amour et un péril. C'est son postulat. Et ce qu'on sent dans tout son livre La princesse de Clèves, comme d'ailleurs dans La princesse de Montpensier, ou la Comtesse de Tende, a une constante méfiance envers l'amour, qui est le contraire de l'indifférence.
Carnets, 1964.