"Chaque nuit, au moment où je ferme les yeux, toutes les lettres du NONPOURQUOIPARCEQUE se tiennent la main, se déploient, se déforment, s’allongent démesurément, et forment une chaine pendant que je cours de l’une à l’autre, tentant de passer sous la barre du A ou de sauter entre les deux jambes reversées du U. Mais elles finissent par tisser une nasse aux entrelacs inextricables dans lesquels je m’emmêle lamentablement." Maïssa Bey.