– Ne pleure pas, me supplie-t-il. Tout n’est pas perdu. Tu peux encore me revoir. Tu peux encore me ramener.
Son étreinte se resserre. La souffrance s’adoucit. Elle est toujours là, mais elle devient supportable. Je le serre dans mes bras, du plus fort que je le peux. Je respire son odeur de savon et de pin à plein nez. Quand je relève la tête, il plonge ses yeux dans les miens.
– Tu vas y arriver, chuchote-t-il en caressant mon visage à nouveau.