« Quand on se lève le matin, on ne se demande pas quel livre on va lire. Mais qu’est- ce qu’on va se mettre sous la dent. Je te conseille de fermer ton Jacques-Stephen je n’a sais quoi et de te mettre au boulot », lui dis-je gravement ce soir-là, quand elle m’avait fait part de son intention d’arrêter de brasser, de faire la putain quelque temps pour lire. (page 81)