Makoto Isshiki

Hanada est un petit garnement qui fait tout le temps plein de bêtises mais pour ce dernier tome de la série, ça plutôt l'émotion qui domine. Quelques larmes pour clore cette série, finalement émouvante et pleine de tendresse, Hanada tu vas me manquer...

Bien qu’étant marquée de l’empreinte des années 90, cette série qui a rencontrée un grand succès au Japon est aussi drôle qu’émouvante.

Par son humour à double sens autour des bêtises de Hanada, ce manga plaira aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Néanmoins le lecteur est également touché par les thèmes abordés au fil desaventures de Hanada qui sont le reflet de la société du Japon rural de l'après-guerre.

Tout le village connaît Hanada. Il casse, il vole, il torture les animaux, il frappe sa famille... Une vraie peste qui ne pense qu'à lui. Il est autant égocentrique, violent que cruel. Un journée, ses bêtises l'amènent à se faire hospitaliser. A partir de là, sa vie va changer radicalement. Dorénavant, il voit les esprit qui lui demande de les aider. L'enfant n'apprécie pas du tout la situation. Il est obligé d'écouter les autres et de penser à eux. Cela n'arrive jamais pourtant. Makoto Isshiki introduit les fantômes sous toutes ces formes. D'un côté dans l'aspect humain et de l'autre du côté horrifique. La peur pousse le personnage principal à agir. Et aussi à s'amuser à faire des images qui font référence à la culture populaire. Par conséquent, cela amène à des situations plus absurdes et adorables. Les péripéties commence avec une femme amoureuse pour aller jusqu'à un vieux lubrique nu qui veut cacher ces liaisons à son épouse. Comme un enfant de 8 ans ne comprend pas tout au monde surtout sur les sujets de l'amour et du sexe, il arrive des mini-catastrophes. Le gamin ne s'attache à personne ni à son chiot et ni à son grand-père. Le mangaka promet de voir l'évolution d'un narcissique en quelqu'un de plus altruiste. Aucun doute que les jeunes lecteurs vont pouvoir s'identifier facilement à l'anti-héros. Il est libre de faire ce qu'il veut. Jamais il ne change d'attitude car il n'apprend rien. Et on montre des pénis à l'air comme si de rien n'était et en même temps c'est un peu gênant pour les fillettes. On parle de pipi-caca tranquillement. Graphiquement, on se rapproche de "Une sacré mamie" ou "Mes voisins les Yamada". Les fans de "Naruto" risquent d'être un peu dérouté par le côté moins lisse.

Il y a longtemps, que je n’avais pas lu une série manga, les raisons sont toujours les mêmes, premièrement il faut que la série attire mon attention et surtout que cela ne dure pas 25 tomes.



J’aime les séries courtes et également les one-shots. Avant de connaître feu Jiro Tanaguchi, je pensais que les mangas étaient faits pour les enfants ou bien encore d’une violence absurde, mais lorsque j’ai découverts « Quartier lointain » de Jiro Taniguchi, il y a maintenant presque 10 ans, les mangas ont trouvés grâce à mes yeux.



Et c’est par hasard que j’ai découvert la série Hanada le garnement et j’ai été piqué par la curiosité, beaucoup d’élément était réuni dans cette série pour quelle puisse me plaire.



Hanada le garnement est composé de seulement 5 tomes, et l’on découvre la vie du petit Ichiro dans la campagne des années 60, généralement dans les romans et les mangas, on trouve une certaine nostalgie et tendresse lorsque l’ambiance est située dans la campagne japonaise.



Et bien entendu cette série a tenu ses promesses. Ichiro Hanada est un petit garçon d’une dizaine d’années qui après un accident de vélo, commence à voir des fantômes et leur vient en aide pour qu’ils puissent enfin reposer en paix.



On suit donc les aventures de ce petit garnement qui a le don de voir les fantômes et leur venir en aide. Un manga qui plaira certainement aux plus jeunes pour son humour et qui pourra également plaire au plus âgé pour le message qu’il y a derrière les gags.



Un manga un peu old-school, tant dans le scénario que les graphismes, mais qui a mes yeux fait son charme. On ne reste pas indifférent aux différents personnages.



Pour ma part, j’ai été particulièrement touché par la dernière histoire du tome 5 « Un gant pour Noël »… L’histoire d’un Papa qui cherche à offrir à son fils son dernier cadeau.



Alors que vous dire de plus, que de vous jeter sur cette série qui finira certainement par vous toucher vous aussi et le petit Ichiro vous fera rire, et même parfois monter la larme à l’œil.
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Dans ce troisième tome, Ichiro à décidément fort à faire puisque pas moins de 4 fantômes viennent lui tourner autour. Le dénouement de l'intrigue autour de Haruhiko, le jeune homme hospitalisé, apporte une petite touche d'émotion. Je dis bien "petite", car dans cette série, c'est surtout l'humour caucasse (et parfois un peu crade) qui triomphe ! Le style est affirmé, renforcé par un dessin toujours aussi drôle, alors il n'y a pas de mauvaise surprise. C'est léger, déjanté, ça change et c'est tant mieux !

"Hanada" ne ressemble à aucun manga que j'ai pu lire jusqu'à maintenant, ni de près, ni de loin ! Cette série allie humour et histoires de fantômes avec un style assez particulier.



Si vous aimez la délicatesse et la subtilité, passez votre chemin, car dans ce premier tome, ce ne sont pas les zizis et paires de fesses qui manquent ! Hanada le garnement est plus souvent cul nu qu'habillé ! L'auteur ne fait pas dans la dentelle et adopte un style déstabilisant qui est à la fois très enfantin, mais aussi adulte.



Ce que j'ai finalement le plus apprécié dans ce premier tome, ce sont les dessins. Si je n'ai pas tellement accroché aux personnages, impossible en revanche de ne pas éclater de rire devant les bouilles caricaturales des personnages, hilarantes!

On continue notre petit tour dans la campagne japonaise. Hanada continue à faire les 400 coups, à être un garnement mais gare aux fantômes et autres esprits frappeurs qui ne sont jamais loin. On dirait qu'il subit son karma alors qu'il est encore vivant.

Il remplace un homme à l'hôpital aux portes la mort qui réfléchit enfin plus que jamais à ses choix de vie, mais du coup il risque d'y rester. C'est un homme de bonne famille, alors quand Hanada parle à sa place c'est l'éléctrochoc.

Il doit aider un esprit frappeur, et pour cela retourner dans le passé et recommencé tant que la petite graine n'est pas planté le bon soir, et évidemment il n'a rien compris à cette histoire de jardinage XD

Et enfin, on tente de le discipliner en lui faisant suivre un cous bien précis. Est-ce que ce sera efficace ?

Mais les gens meurent, même ceux qu'il a connu, et Hanada les voit et entend pour son plus grand malheur.

Rien de révolutionnaire, de génial mais ça se laisse lire. C'est fait pour passer un moment fun. Après, comme toujours, les histoires des gens peuvent faire réfléchir.

Imaginez que Bart Simpson soit le héros principal de Sixième sens: cela donne le manga hanada le garnement! En effet Ichiro Hanada est un sacré personnage. Il traite sa soeur de groche (un mélange de moche et de grosse...), pisse n'importe où, coince un crapaud dans l'appareil pour repasser le linge pour persuader ses parents d'acheter une télé couleur.... Alors quand il fait encore une fois une bêtise et qu'il se retrouve renverser par une voiture, il pense que le ciel le punit car il peut voir et communiquer avec les esprits! Chacun d'entre eux lui demande des services pour achever leur action afin d'aller au ciel.

J'ai trouvé ce manga très original: notamment grâce à l'illustration, on pense tout de suite à une sacré mamie ou au voisin Yamada pour montrer le côté léger de ce récit et en même temps les répliques adoptées: pipi caca ou humour noir. En même temps ce manga parle de la mort et certains passages sont très touchant (notamment le petit garçon qui souhaite que sa mère reprenne le goût à la vie). Je le conseillerai plutôt à partir de 10 ans car le texte est très familier.

Très drôle et amusant, voici un premier tome tout à fait accrocheur aux dessins loufoques et assurément atypiques, dans le bon sens du terme.



Ici pas de beaux personnages, mais bien des gens de la vie de tous les jours avec leurs défauts et qualités. Les expressions, l’aventure, les personnages... Tout sort de l’ordinaire et nous rappelle avec joie ces anciens manga aux grimaces exagérées, mais tellement hilarantes.



Nous suivons donc Ichiro dans son quotidien y faire ses bêtises à longueur de temps et être confronté, en plus de cela, à des effets surnaturels. N’en ressort que des situations pleines d’humour, mais aussi de tendresses ce qui fait évoluer ce petit garçon néanmoins plein de bonnes attentions, mais aussi aux idées complètement idiotes. Mais même si celui-ci voulait rester sage, les esprits ne le laisseraient certainement pas en paix.



Pourquoi j’ai aimé ce manga, car on y parle sur fond d’humour de la vie et de la mort, des accidents et des regrets, pourtant jamais abordé avec désespoir, mais bien avec un gout de renouveau. On comprend que les actions ont des répercussions, on y trouve de très beaux moments attendrissants et de belles leçons de vie, un manga qui s’adresse à tous !



Les dessins sont aussi un grand plus, très originaux, au coup de crayon juste on y suit avec plaisir chaque petite aventure.


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Hanada le garnement porte bien son titre. Série en 5 tomes avec un graphisme sympa et des personnages réels. On dit qu'il est pas méchant et effectivement il n'a pas l'air de penser à mal mais c'est un cas ! Et certaines bêtises sont très méchantes. Il n'écoute rien, il n'apprend pas de ses erreurs. On se promène à la campagne ou tout le monde se connaît, ou il s'est déjà fait une sacré réputation, pas de masque ici. C'est cru, on parle même de bistouquette. Comme je m'y attendais la série devient plus sympathique et intéressante une fois qu'ils voient les fantômes. Hanada et pervers papy ne sont pas des personnages très attachant, un beau retour de bâton leur fera du bien. Pourtant la maman d'Hanada le réprimande, elle le corrige même (fessee). Il joue avec elle a attrape moi si tu peux ce qui lui vaut l'accident. Son ami Sota est plus attachant. Les 2 jeunes fantômes ont une histoire à pleurer dans les chaumières et pour certain il faudra déjà se rendre compte qu'ils sont morts. Les fantômes peuvent changer de forme et lui faire super peur pour qu'il accède à leurs requêtes.

Mon premier manga, je n'ai donc pas trop de moyens de comparaison.

J'ai bien aimé cette lecture. Les illustrations sont fraîches, l'histoire est drôle et émouvante. Mon fils de 11 ans, fan de Naruto, a beaucoup aimé aussi et a bien rigolé. On s'attache facilement à ce petit garnement débordant d'énergie, vivant dans la campagne japonaise.

Un manga frais et divertissant.

Les premiers tomes m'avaient surprise par leur graphisme aussi bien que leur ton déjanté. Comparativement, ce cinquième tome qui conclut la série est un peu plus "soft", dans le sens où l'émotion prend clairement le dessus sur l'aspect humoristique du manga. J'ai été émue par les deux histoires qui sont proposées.

Si les trois premiers tomes s'inscrivaient clairement dans un registre humoristique (et même, un peu déjanté), j'ai été surprise par le ton de ce quatrième volume. Certes, les dessins caricaturaux sont toujours les mêmes et véhiculent la même énergie positive. Cependant, l'intrigue est bien plus sombre. L'insouciance n'a plus sa place étant donné que la vie d'Ichiro est en jeu. C'est l'occasion pour ses amis les fantômes de refaire leur apparition afin de lui venir en aide. Un tome surprenant et riche en émotions.

Dans ce tome, on retrouve les éléments si caractéristiques du premier volume : des dessins caricaturaux hilarants au service d'une histoire complètement déjantée !



Si le début du manga, centré sur Sota et sa mère, apporte presque une touche d'émotion, l'intrigue reprend vite un chemin bien moins glamour avec un étudiant fantôme obsédé par les seins ! Sincèrement, je n'ai pas trop compris l'intérêt de ce chapitre, contrairement au dernier, bien plus intéressant, qui annonce une suite peut-être un brin moins drôle pour Ichiro. Le dénouement est réussi et donne envie de lire la suite.

Histoire sympathique et assez originale avec cette histoire de contact avec les fantomes. Mais dans l'ensemble je n'ai pas complètement accroché.

Je suis très partagé sur ce manga.

Dessiné dans les années 1990, ce manga met en scène avec malice et sensibilité les aventures d’un jeune Japonais turbulent qui vient en aide à des fantômes.


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Après avoir lu cette courte série, je dois dire qu'elle est plutôt originale par le sujet choisi. On passe du rire au larmes très facilement car cela mêle grand sentiments avec les histoires des morts et le comique avec la vie et le caractère du garçon. Très sympa !

Ichiro découvre les joies de l'amour et grandit... Toujours aussi drôle et émouvant.

Dans tome hanada rencontre un esprit frappeur qui va le faire voyager dans le temps pour l'empêcher de rester enfermer dans un monde parallèle.

Il y a quelques passages touchants aussi, notamment où le garnement prend possession d'un corps mourant pour que celui-ci revoit celle qu'il aime.

Des personnages des anciens volumes reviennent de temps en temps pour apporter une touche drôle à l'histoire.

A la fin le professeur d'Hanada, monsieur Goda, s'étouffe avec un grain de riz et meurt. Il pense avoir eu une vie irréprochable et ne comprend pas pourquoi il ne peut pas monter dans le ciel. Avec le garçon ils vont mener leur enquête.

Toujours dans la continuité des autres tomes. Rien à redire je me suis régalée.

Le meilleur ami d'Hanada veut demande l'avis de son père décédé sur le mariage de sa mère. Malheureusement (ou heureusement) Hanada pense qu'il n'a pas plus le pouvoir de communiquer avec les morts car il n'arrive pas à rentrer en contact avec lui, jusqu'à qu'il se fasse posséder par celui-ci ! Du coup dans ce volume ci on découvre qu'Hanada peut prêter son corps aux fantômes, ce qui peut amener des situations rocambolesques : se retrouver posséder par un étudiant pervers par exemple. A la fin du volume Hanada rencontre une fausse voyante décédé, qui a finalement le pouvoir de voir l'avenir. Tout au long de la série elle va le mettre en garde.

On en apprend un peu plus sur la société japonaise sur les conditions pour se remarier.

Toujours le même humour, la traduction est soignée car elle réussit à faire rire le lecteur.