Papa n'arrêtait pas de me dire que les échecs, c'est comme la vie : tu dois anticiper les ouvertures et les stratégies défensives, tu dois manœuvrer, avancer tes pions, planifier. Les parties pour rire qu'il jouait avec moi, il appelait ça les échecs anarchiques. Il disait que c'était comme ça qu'opéraient la majorité des gens, ils jouaient leurs pions à l'aveugle, sans aucune stratégie.