Je crois qu’en amour la liberté est le pire des poisons lorsqu’il porte la contrepartie du secret. C’est intenable. Toujours l’amour veut être connu, reconnu. S’il se noue dans l’intimité, il a besoin d’exister au regard des autres – pour moi, du moins, j’en ai besoin –, et le contraindre au silence des alcôves est un poison qui ronge les amants.