Il y a des jours où je voudrais coudre mes paupières pour ne plus lire ce monde que j’imaginais transparent comme le verre.
À présent, je le vois fragmentée, cristal pulvérisé en mille éclats de peines qui brisent les rêves.
Au fil des jours, je sens mon cœur s’effilocher et mes larmes coulent au rythme du bruit des gouttes de pluie.
L’âge est parfois une pierre lourde jetée dans l’eau. Elle vous entraîne vers le fond, c’est inévitable.