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Citations de Marah Woolf (25)


Ne te fie pas aux apparences. La beauté n’enlève en rien le danger, et les plus belles choses de la nature sont parfois les plus dangereuses.
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Il y a toujours des hommes qui jugent les autres seulement sur les apparences. Juste parce qu’ils sont différents et étrangers
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- Depuis des siècles, les hommes parlent de nous, des histoires de sirènes, d'êtres de l'eau, d'elfes, de trolls, de dragons. Et toi, tu crois que ce n'est que pure imagination ? La seule chose que l'homme est capable d'inventer, c'est la capacité à détruire la nature et tout ce qui lui est étranger.
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La seule chose que l'homme est capable d'inventer, c'est sa capacité à détruire la nature et tout ce qui lui est étranger.
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Amour et souffrance seraient donc indissociables ?
Bon, peut-être dans les livres...
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Amélie grommela:

- Papa, tu sais bien qu'on sort au pub ce soir. On t'avait prévenu. Il y a un chouette groupe qui joue, et si on passe la journée à grimper sur des collines, on sera trop fatiguées pour danser ce soir... Tu ne veux pas repousser la randonnée, s'il te plaît ?

Danser ? J'avais dû mal entendre. Amélie n'avait jamais parler de ça !

- Ok, d'accord. J'avais oublié que vous sortiez ce soir. Vous y allez tous ensemble ?

- Oui, bien sûr, répondit-elle avec son plus beau sourire. Aidan vient nous chercher à dix-neuf heures.

- Aidan ?...

Ethan haussa les sourcils et garda pour lui son commentaire concernant le petit copain de sa fille. Amélie se tourna vers moi avec son air angélique, comme si ne rien n'était, et je la fusillai du regard. Mais dès que nous eûmes passé la porte de sa chambre, je me lâchai:

- C'est quoi, ce délire ? Danser ? Tu peux oublier! Je préfère encore faire une randonnée. Je vois déjà le tableau, tu vas passer la soirée assise dans un coin collée à Aidan, et moi je vais tenir la chandelle et m'ennuyer à mourir.
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« Les bourrasques de vent se faisaient fortes pdt que je rassemblais péniblement mes affaires. Je boutonnai ma verste et marchai dans la direction par laquelle j’étais arrivée. Mais le vent me malmenait, m’empêchant presque d’avancer. Le chemin ne semblait plus finir. Le matin, j’avais marché avec aisance sans prêter attention à la montée, et j’étais incapable de me rappeler combien de temps j’avais mis. J’arrivais alors à un embranchement, mais je ne pouvais pas me permettre de réfléchir très longtemps à la direction que je devais prendre. Je continuais donc tout droit, toujours en descente. Je m’aperçus bientôt que je remontais et que la brume qui m’enveloppais s’épaississait »
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Sois patiente, le soleil va bientôt briller. En attendant, c'est à nous de rendre le monde plus beau !
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– Je me demandais où tu étais. Je voulais juste te parler. À propos d’hier.
Sa voix et son regard avaient retrouvé une certaine douceur.
– Inutile de te prendre la tête, bredouillai-je. Tu as entièrement raison. Entre nous, il n’y a jamais rien eu de sérieux. Et c’était ridicule de ma part de partir en courant comme ça.
Mais mon explication sembla le laisser indifférent. Il continua comme s’il ne m’avait pas entendue.
– Pour moi, c’était sérieux. Et ça me rend fou de ne pas te voir.
Je n’en croyais pas mes oreilles.
– Pourquoi tu me fais ça ? demandai-je sans pouvoir empêcher ma voix de flancher.


http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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La seule chose que l'homme est capable d'inventer, c'est sa capacité à détruire la nature et tout ce qui lui est étranger.
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Amour et souffrance seraient donc indissociables ?

Bon, peut-être dans les livres...
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Épuisée, je traînai les pieds jusqu'à mon casier pour y ranger mes affaires de sport. Malgré mes efforts, c'était la deuxième fois déjà qu'Amélie me battait au badminton. Il fallait quand même que je me ressaisisse pour prendre ma revanche.
Et là j'entendis la petite voix de pimbêche de Valérie:
-Elle ne veut plus de toi, mais je vois comment tu la regardes !
J'ignorais de qui elle parlait, et encore moins avec qui. Je continuai donc d'avancer, tournant au coin du couloir.
Je vis alors Calum de dos, devant son casier ouvert. Ni lui, ni Valérie n'avaient remarqué ma présence.
-Arrête de te faire des films, Valérie ! Entre Emma et moi, il n'y a jamais rien eu de sérieux. Je lui ai donné quelques cours de guitare, et c'est tout. Et puis ça va, je peux bien regarder qui je veux !
Il garda un instant le silence, avant d'ajouter:
-Elle ne m'intéresse pas. Elle ne m'a jamais intéressé. J'ai juste voulu être sympa avec elle.
La Terre s'arrêta de tourner et je restai figée. Mes livres me glissèrent des mains et tombèrent au sol dans un boucan d'enfer. je m'empressai de faire volte-face et me ruai vers la sortie.
-Emma ! Em !
Calum courrai derrière moi.
Je couru jusqu'a la voiture sur le parking. Ou pouvait bien être Amélie ? C'est elle qui avait les clés.
Sans crier gare, Calum me rattrapa et se jeta littéralement sur moi, m'obligeant à me tourner vers lui. Il m'attira contre lui et enfonça son visage dans mes cheveux, haletant:
-N'en crois pas un mot, je t'en pris, pas un mot de ce que je viens de dire ! Tu le sais hein ! Tu sais bien que je ne pense rien de tout ça !
J'étais comme paralysée, incapable de bouger ou de prononcer la moindre parole. Le sentir tout contre moi me déstabilisait complètement, et son parfum si familier m'enivrait.
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Et c'est là que je le vis pour la première fois. D'un brun rappelant la cannelle, sa chevelure sauvage semblait étinceler sous les derniers rayons du soleil couchant. il observait attentivement les baleines. je n'avais encore jamais vu de garçon aussi beau, et sentis mon cœur s'emballer, battant à tout rompre dans ma poitrine. le nouveau venu portait un t-shirt gris parfaitement ajusté, qui révélait tout de son torse musclé, sur un jean noir. même ses immondes bottes de caoutchouc kaki paraissaient hors de prix sur lui. je frissonnai en le voyant si fraîchement vêtu, déjà que mon coupe-vent me protégeait à peine du froid.
mais ce qui m'interpella le plus, ce fut son visage. ses traits, à la fois fins et marqué, me rappelaient les sculptures grecques que nous avions étudiées au cours d'arts plastiques. malgré le long hiver, sa peau avait conservé un léger hâle doré. il gardait les lèvres serrées comme s'il était contrarié, et ses yeux étaient remplis de tristesse alors qu'il observait les baleines.
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Tous mes sens étaient engourdis. Je n'avais plus aucun contact avec l'extérieur. Je voyais Bree et Ethan me parler, mais je n'entendais rien. Peter essaya de me soulever, mais, lourde comme une pierre, j'étais incapable de bouger. Puis Sophie se pencha vers moi, et me murmura :

- C'est fini, Emma. Il est parti. On doit rentrer.

Alors seulement, je me levais, les laissant m'emmener à la maison.

Telle une automate.
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Depuis des siècles, les hommes parlent de nous, des histoires de sirènes, d'êtres de l'eau, d'elfes, de trolls, de dragons. Et toi, tu crois que ce n'est que pure imagination ? La seule chose que l'homme est capable d'inventer, c'est la capacité à détruire la nature et tout ce qui lui est étranger.
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Le chemin ne semblait plus finir. Le matin, j’avais marché avec aisance sans prêter attention à la montée, et j’étais incapable de me rappeler combien de temps j’avais mis. J’arrivais alors à un embranchement, mais je ne pouvais pas me permettre de réfléchir très longtemps à la direction que je devais prendre.
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J'étais comme paralysée, incapable de bouger ou de prononcer la moindre parole. Le sentir tout contre moi me déstabilisait complètement, et son parfum si familier m'enivrait.
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Elle embrassa rapidement Bryan avant de se diriger vers le gymnase. Je soupirai discrètement, détournant le regard. J'avais de plus en plus de mal à supporter le bonheur des autres.
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- Ta couleur préférée?

- Le rouge.

- Bien trop criard, décrétai-je.

[...]

- Tu avais vraiment prévu de passer autant de temps avec moi?

- Ça m'a fait plaisir, répondit-il.

Ma question semblait l'amuser, et je sentis mes joues devenir écarlates.

- C'est pour ça que le rouge est la couleur préférée... dit-il aussitôt, me regardant droit dans les yeux.

Ses mots n'arrangèrent pas les choses et je dus esquiver son regard tout en rougissant davantage.
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"Was soll das sein? Ein Liebestrank?"
Empört schüttelte die Kleine den Kopf.
"Mit so etwas gibt sich eine ordentliche Fee nicht ab. Das ist Medizin", erklärte sie stolz.
Vorsichtig nippte ich daran. Sie musste recht haben, so schrecklich schmeckte nur Medizin.
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