Ce fut en cet arroi que nous rejoignîmes au plus vite les bois noirs sur les collines au dessus de Vaucouleurs, et c'était l'heure où les canards quittent les roselières en queue d'étang pour évoluer dans un ciel sombre, et où le vol des oiseaux sauvagins palpite à la lisière des forêts, et où la terre froide faonne des bandes de brume qui se meuvent comme si elles étaient vivantes, (...)